Message du 02/06/2000

Souffre sans faire porter aux autres le poids de ton cheminement.

Soit sans crainte, Satan est maître de l’illusion. Il dresse à vos regards un sombre tableau afin que vos cœurs se laissent ligoter par le doute et l’angoisse. « Que rien ne te trouble, que rien ne t’effraie… » Appuie chacun de tes pas sur moi. Tu dois inlassablement bénir. Agis, avance tes travaux et chante-moi sans cesse ton amour et ta confiance si tu n’as pas de longues heures à m’accorder. Cependant demande chaque soir avant de dormir mon Esprit de force afin de toujours commencer ta journée par ton office. Je sais que cela t’est difficile. Cela n’aura que plus de prix à mes yeux ! Parle-moi, confie-toi à Marie mais souffres-en ton cœur sans faire porter aux autres le poids de ton cheminement spirituel. Ainsi, ton sourire nous gardera unis. Va enfant, rayonne de ma joie. Je te bénis moi, Jésus qui t’aime et connais ta souffrance. Offre-la moi. Je te soulage. Va me rayonner.

Amen.

Message du 07/06/2000

Je t’attends, petite fleur endolorie.

Je vois et compatis, ô combien, à tes souffrances. Elles tapissent ton âme et rythme tes journées. Continue à te tourner vers moi avec persévérance. Accepte ce vécu douloureux. Offre-le pour les conversions. Sache-moi là en chaque instant et souffre en paix. Viens te réfugier sous le voile de Marie et de là, entre dans mon cœur. Je t’attends petite fleur endolorie, viens te recueillir. Reçois ma force, ma paix, ma joie et retourne à tes occupations en me gardant présent à ton cœur. Reviens ce soir. Un des secrets du bonheur, c’est de trouver en moi son repos et sa force par la louange…

Jésus, ton ami

Message du 08/06/2000

La foi, cet enracinement dans le rocher que je suis.

Ainsi ton âme aspire à connaitre son Dieu… et cet élan t’emporte et tu entends ma voix. Ces temps sont difficiles et je suis près de vous. Soyez souples dans tout ce que vous faites mais soyez fermes dans votre foi. La foi, cet enracinement dans le rocher que je suis doit toujours grandir. Elle cimente notre union, attire l’unité, Dieu trine – un en trois- et Dieu d’amour, un en chacun des siens. Créatures choisies, ne geignez pas, mais soyez fermes, inébranlables, dans votre foi, afin que je vienne dans les cœurs sur le monde avec mon règne d’amour, de puissance et de gloire. Exercez sans relâche votre foi. Dites-moi sans cesse que vous croyez : Mon Dieu, je crois en Toi, Amour et délicatesse, Puissance et tendresse, Dieu fort et Dieu si doux, Viens affermir ma foi, Viens me révéler ta Face.

Message du 09/06/2000

La vérité…par la vérification…

La preuve de mon amour ? C’est la vérité par la vérification de ce que je t’annonce. Tout ce que je te confie, tu dois le dire à ton père spirituel… Accepte-tu, pour cette âme qui vient d’entrer et dont le cœur est plein de suspicion… de t’offrir afin de la sortir des griffes de l’adversaire ? Accepte-tu par amour pour moi, sans même bien comprendre ? Je t’aime et je t’appelle Axelle, je veux compter sur toi !

Message du 10/06/2000

Ame spirituelle = âme compliquée !

Sens-toi libre en ma présence : chante, respire, pense… Sois tout simplement et ce sera une vraie prière si je reste présent à ton cœur, à ta pensée pendant tous ces moments. Beaucoup d’âmes « spirituelles » se compliquent bien trop l’existence : est-ce que je prie bien ? Suis-je assez respectueuse dans ma façon de parler au Seigneur ? Et tant d’autres questions qui ne sont pour finir que retour sur soi-même. Non ! Quand tu pries, rejoins-moi tout simplement. Viens à la source du bonheur. Détends-toi, je suis là…Comme votre regard est faussé : voilà que vous vous disposez pour prier et vous préparez le lieu, allumez les bougies. Vous vous installez convenablement et commencez à calmer vos pensées et tous les mouvements de votre cœur : sentiments et « décalages », tout ce qui vous détourne de l’amour et vous commencez en disant : « viens ! Seigneur, viens… La vérité est que je suis toujours là et que vous n’y êtes pas, aussi, n’attachez pas une importance excessive à tous les supports extérieurs à la prière. Non ! Je vous veux adorateur en esprit et en vérité ; en disant : Seigneur, je viens vers toi, aide-moi ; Seigneur, Donne-moi d’être présent à à ta présence… Je vous l’assure, vous gagnerez du temps ! Je viens vous enseigner, puissiez-vous écouter et mettre en pratique mes recommandations ! Nous avancerions à pas de géants sur le chemin du Royaume. Sachez que les petites prières : les oraisons jaculatoires, sont des joyaux qui jaillissent du cœur de mes agneaux comme autant de fils d’or qui viennent tisser l’échelle sur laquelle leur âme, petit à petit, grimpe pour trouver le chemin de mon cœur. Occupez votre esprit à répéter : « Jésus, j’ai confiance en toi » en essayant chaque fois de mettre toute votre ardeur, en y adhérant en vérité. C’est cela qui forme petit à petit votre organisme spirituel. Vous avez tout reçu au baptême, et mes sacrements nourrissent votre âme… Encore faut-il, pour manger les fruits du jardin, se donner la peine et prendre les moyens de les cueillir. Accueillez les grâces – simplement- laissez-vous former, ne pensez plus par vous-même sans prendre le temps, avant de demander à l’Esprit-Saint. Simplement par un cri du cœur : Esprit-Saint ; révèle-toi à mon cœur, Eclaire ma réflexion. Sans toi, je suis aveugle ! Oui, Esprit-Saint, soit le maître en moi. Voyez-vous, rien ne nous plaît davantage que les prières simples, vraies qui décrivent vos besoins. Nous exauçons les prières des cœurs qui se placent sous notre dépendance. Ce qui vous manque encore, c’est la foi. Demandez une foi plus ferme ! En cette Pentecôte le feu de l’Esprit-Saint se rendra sensible à beaucoup d’âmes, afin de les «confirmer» dans leur cheminement spirituel. Soyez dans l’allégresse, comme le ciel l’est, en ce jour où l’Esprit-Saint est exalté, magnifié et glorifié. Priez, croyez et prêtez l’oreille, car l’Esprit souffle… pour qui veut l’entendre.

Votre Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit

Message du 10/06/2000(2)

Pourquoi Dieu n’aurait-il que des paroles d’éternité ?

Quant à toi, petite aimée, pose-moi tes questions. …?, …?, …? Prie ! Aime ! Aie confiance ! Ne laisse pas le trouble te gagner devant la précision de mes réponses ! Pourquoi Dieu n’aurait-il que des paroles d’éternité ? A chaque instant je te l’ai dit, je suis là et aucun de vos problèmes, même les plus concrets, les plus physiques, ne m’indiffère. Ecris et ensuite vois si mes conseils ne te nourrissent pas. Laisse-toi façonner ! Il y a la liturgie, pour les rapports solennels et sacrés, et il y a l’oraison pour les cœur à cœur dans l’intimité partagée. Viens, enfant — dans mon cœur — et demain rayonne ma paix, ma joie et la douceur de ma tendresse. Ne doute pas que je t’aime d’un amour de prédilection. Je te bénis, enfant chérie.

Jésus Christ

Message du 11/06/2000

Ma Parole te lave !

Ton âme est toute «lissée» par l’action de l’Esprit-Saint. Je te remercie d’avoir vécu cette Pentecôte si près de mon cœur. Les fruits ne tarderont pas à se remarquer… et tu me béniras. Aujourd’hui j’ai creusé dans ton cœur une plus grande Compassion aux souffrances de ton prochain. Ainsi je te Permets de mieux les approcher afin de les aider. Garde ton cœur ouvert et accepte cette souffrance lancinante afin de rester unie à ma souffrance rédemptrice. Sois : reflet de mon amour, abandonnée, donnée, poussée par le souffle de l’Esprit et portée par la main secourable du Père qui ne quitte jamais du regard sa créature offerte et qui pourvoit à ses moindres besoins !… Oui, sois et deviens ! Ne crains pas mes paroles qui viennent chaque fois purifier ton cœur, raviver ses couleurs. Lash dektomé ce qui signifie : Ma Parole te lave Eli at ktali té et te crée à jamais Met Koulara Ma force te nourrit Awav manléïvé pour l’éternité Accueillez les grâces – simplement- laissez-vous former, ne pensez plus par vous-même sans prendre le temps, avant de demander à l’Esprit-Saint. Simplement par un cri du cœur : Esprit-Saint ; révèle-toi à mon cœur, Eclaire ma réflexion. Sans toi, je suis aveugle ! Oui, Esprit-Saint, soit le maître en moi. Voyez-vous, rien ne nous plaît davantage que les prières simples, vraies qui décrivent vos besoins. Nous exauçons les prières des cœurs qui se placent sous notre dépendance. Ce qui vous manque encore, c’est la foi. Demandez une foi plus ferme ! En cette Pentecôte le feu de l’Esprit-Saint se rendra sensible à beaucoup d’âmes, afin de les «confirmer» dans leur cheminement spirituel. Soyez dans l’allégresse, comme le ciel l’est, en ce jour où l’Esprit-Saint est exalté, magnifié et glorifié. Priez, croyez et prêtez l’oreille, car l’Esprit souffle… pour qui veut l’entendre. Votre Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit Maintenant, voici le temps ordinaire… Enfant, sois dans la joie, car je viens ! Recopie tout ce que tu as reçu et donne-le. Poursuis tes efforts — les mêmes — renouvelée par ma grâce. Alléluia! Toi qui m’aimes d’un si grand amour, viens, je t’embrasse. Va, je te bénis, et tous les tiens.

Jésus avec le Père et l’Esprit-Saint

Message du 13/06/2000

N’oublie pas la louange qui te dépose en mon cœur

Dans ton office demain, dépose avec confiance tous les tiens et tes soucis puis, jeûne dans l’allégresse, car ma force, je te la donne. Reste toujours plus souple à faire ma volonté. Confie à ton père spirituel tes questions. N’oublie pas la louange qui te dépose en mon cœur et remercie pour les grâces inouïes que je t’accorde : tu vis en ma présence, une vraie relation fluide quand tant d’autres piétinent des vies entières en croyant toujours être à la porte, en cherchant en vain à me « rejoindre» mais toi, TU SAIS que JE SUIS toujours là. Réjouis-toi ! rejoins les tiens… et repose-toi. Dors vite ce soir ! Je te couvre de toutes mes bénédictions affectueuses.

Ton Jésus !

Message du 14/06/2000

Viens plonger dans la source chaude de mon amour

Enfant, sache-moi là, en ton cœur purifié, Et rejoins-moi toujours plus profondément. Viens plonger en la source chaude de mon amour, Viens y prendre tes aises. Laisse-toi reposer. Je veille sur vous. N’ayez crainte !

Jésus, Roi du ciel et de la terre.

Message du 15/06/2000

Répands à profusion le baume de mes grâces

J’ai inscrit mon nom sur ton front afin que désormais chacun sur terre, dans le ciel et jusque dans l’abîme sache que tu es à moi. Aussi, j’attends de toi une conduite irréprochable. Je te donne la force de mon Esprit-Saint, ne la gaspille pas. Répands à profusion le baume de mes grâces. Unis toutes tes actions à ma volonté sainte et dans l’humilité, tourne-toi vers Marie. Ne te regarde pas, accueille son regard qui est le mien, et, appuie-toi comme ce matin sur une louange tonique. Oui, mon enfant, tu es sur le Chemin que Je suis, et les temps s’accomplissent. Va, je te bénis.

Jésus Christ

Message du 15/06/2000(2)

Dépose mon nom au fond de ton cœur

Rends grâce, ô mon aimée. Rends grâce, car il vaut mieux trancher en cette vie les liens qui ne sont pas bons ! Regarde et trouve-moi au plus profond de toi. Il nous faut toujours creuser et raviver cette plaie de ton cœur, et l’agrandir aussi pour qu’elle pulse mon amour. Dépose à l’intérieur, tout au fond, mon nom : JÉSUS, afin qu’il y reste gravé, toujours. Tout autour, tu as froid, mais au fond de ton cœur, ton sang pulse mon nom. J’allume ton brasier. Il faut l’entretenir en redisant mon nom, sans cesse, en l’inspirant, en l’expirant, en le sentant qui fait pulser ton sang. Essaie encore et encore.

Jésus Christ

Message du 16/06/2000

Dans l’épreuve on reconnaît ceux qui sont miens

Enfant, ne tarde pas. Prends ton crayon et note. Voilà que vient pour vous, le temps de votre épreuve. Il faut tout considérer sous mon regard, car je suis là. Garde mes paroles, relis-les, suis mes conseils. Satan essaie de se rendre maître de vos cœurs et croit pouvoir vous anéantir. Réfugiez-vous sous le voile de Marie et assurez chacun de vos pas sur le rocher que Je suis… Douter ne mène nulle part. Reste près — au plus près — de mon cœur et considère ta vie, votre vie. Classe l’essentiel et ce qui l’est moins. Que ton époux fasse pareil, puis rassemblez vos travaux. Voyez les lignes se dessiner ! Ce qui m’est essentiel, Ce qui m’est très important, Ce qui compte pour mon équilibre, Ce que je suis prêt à abandonner. Pour l’argent, mettez aussi tout à plat : vos besoins vrais. Regardez ce qui manque. Cherchez des solutions, elles existent ! Considérez la réalité, l’échéance, l’urgence… Pour la santé, avancez ! soignez-vous ! C’est dans l’épreuve aussi que l’on reconnaît ceux qui sont miens. Pourquoi seraient-ils épargnés ? l’ai-je été ? Non ! L’épreuve offerte en sacrifice pour la gloire de Dieu et le salut du monde prend une valeur inestimable qui hâte l’avènement de mon royaume. Pourtant dans la tribulation, vous devez garder votre foi, alors je puis agir et vous conduire et vous sortez de tout cela grandis, renforcés, situés. Quant à toi, demeure inébranlable — remplie de mon Esprit et que tes décisions s’appuient sur moi.

Jésus Christ

Message du 22/06/2000

Ne laisse aucune plainte ternir l’éclat du cadeau

Enfant, sois en paix. Je reçois toutes tes bonnes résolutions. Pour l’instant il convient de mener tes travaux au mieux pour ma plus grande gloire et le triomphe du Cœur Immaculé de Marie. Offre-nous tes peines et ton travail, tes efforts dans la louange et ne laisse aucun découragement, ni aucune plainte venir ternir l’éclat du cadeau que tu nous présentes. Nous le recueillerons, il sera source de grâces. Cette maison, vois-tu, n’est pas simplement votre demeure familiale, elle est à Marie, vous la lui avez consacrée, elle entre dans ses plans et vous avez déjà pris trop de retard. Alors, garde ton cœur dans la joie de l’accomplissement de la volonté divine et ne doute pas, enfant chérie, des Cœurs unis de Jésus et Marie. Sois douce, tendre et compatissante. Je vous bénis tout spécialement en ce jour.

Jésus

Message du 01/07/2000

 

Soyez mes pauvres tout-petits qui s’émerveillent et louent

Ma fille, ne cherche pas où je te mène. Je te mène et te mènerai sur les chemins de France, sur les chemins du monde. Tu iras, poussée par mon Esprit, accompagnée d’amis sûrs et fidèles, avec la grâce qui vous est propre et que vous partagez. Soyez en paix. Il suffit d’avancer simplement, mais, progressez encore dans la louange. J’attends chacun de vous sur ce sentier qui seul vous ouvrira la voie de la mission. Un objectif, un seul : louer ! Que vos cœurs soient prière et pulsent la louange ! N’hésitez plus et lancez-vous hardiment, ouvrez la bouche, je la remplirai de toutes paroles de bénédictions, ainsi s’accomplira pour vous ce qui est dit : «En ces temps-là sur toute chair je répandrai mon Esprit.» J’attends de chacun de vous une conduite irréprochable. Soyez mes témoins et qu’aucune plainte ne franchisse vos lèvres, veillez à garder vos langues de toute sorte de découragement et de toute parole de malédiction. Soyez les petits, mes pauvres tout-petits qui s’émerveillent et se réjouissent en chaque instant et louent et louent sans cesse en toutes circonstances pour tous les bienfaits dont le Seigneur vous comble. Enfants, réjouissez-vous, car je vous ai choisis. N’en doutez pas. Gardez la foi. Croyez en moi… Je tiens à vous exprimer en ce jour, samedi 1er juillet, de ce que vous réjouissez et consolez mon cœur par votre bonne volonté malgré les épreuves qui ont atteint chacun de vous. Votre persévérance est un ciment puissant qui travaille à la construction du Royaume pour le faire advenir. Croyez que votre prière vous a obtenu la grâce de la louange et de la réconciliation. Je vous bénis.

Jésus, qui t’aime tendrement

Message du 07/07/2000

 

Tu dois aider mes prêtres

Ce jour je t’ordonne, enfant, qui demande et redemande toujours d’être « agie » par mon Esprit : accomplis ma Parole et donne ton énergie dans tes travaux afin que bientôt ta maison soit le havre d’accueil où chacun puisse venir se ressourcer. Ne te laisse pas emporter. Il y a un temps pour chaque chose. Offre-moi ton travail et ne ménage pas ta peine. Ainsi tu sers ton Dieu, et ceux que tu dois aider par ma Parole, je te les amène et te donne la joie de sentir que tu Me transmets. Jeûner est bon. Partager le repas ce soir avec les tiens est très important. Contente-toi des pâtes et d’un fruit et laisse entrée, viande et vin. Ainsi ton jeûne de ce jour restera agréé et accompli dans l’obéissance. Tant et tant de mes enfants attendent de te connaître pour enfin trouver le chemin de mon cœur. Ne te regarde plus. Ecoute et fais simplement ce que je demande… D’où vient cette joie de la rencontre avec mon fils le père X…? De ce sentiment partagé de savourer les prémices du Royaume. Tu dois aider mes prêtres, tu le sais, les porter dans la prière et les guider par ce regard que je te donne et qui sait lire au fond de leur cœur. Exerce simplement ce charisme qui réconforte : enfin, ils sont moins seuls ! Enfin, une âme qui vient vers eux avec les paroles qu’ils délivrent toujours eux-mêmes — réconfort ou exhortation —, mais sans toujours qu’ils les prononcent en pleine lucidité. Ta parole est une grâce, l’accueillir c’est me recevoir, la méditer c’est s’ouvrir un nouveau chemin, une nouvelle possibilité d’ascension dans le cheminement spirituel. Alors, plus tu exerceras ce don, pour ma plus grande gloire, plus je le renforcerai et je te rappelle : prophétise à la mesure de ta foi ! Sois audacieuse tout en restant soumise. Demande-moi ce que tu veux ! Je te fais beaucoup écrire, enfant, car il y a urgence. Les temps pressent et chacun doit se décider pour moi. Changeons de registre et penche-toi sur A…, à Abidjan. Là-bas les événements ne sont pas prêts de se calmer…

Je viens

Message du 20/07/2000

Je viens adoucir ton cœur

Tu paîtras mon troupeau. Tu dois paître mes brebis. Mais, il y a bien les prêtres pour cela ? — Oui, Axelle, c’est la mission du prêtre, mais rappelle-toi le baptême… Sens-tu, âme chérie, cette grâce de douceur qui vient imprégner ton âme, la pénètre et vient rendre souple tout ce qui se durcit sous l’effet du travail de la volonté bien nécessaire cependant pour vaincre ta nature, et mener tes travaux. Ce soir, je viens adoucir et mettre mon onction en ton cœur. Tu fais ma volonté, enfant, et cela me réjouit. 6. Je vois des brebis blanches aux pattes noires, sous un arbre. Certaines regardent vers le berger : Jésus, tandis que d’autres regardent ailleurs, je croise quelques regards ! Ne crains rien. Je veille sur toi en tout. J’ai besoin de toi. Je t’aime, Axelle.

Entends : je t’aime, Axelle.

Message du 01/08/2000

Je suis la lumière où s’origine le monde

Je suis la lumière où s’origine le monde. Qui me contemple voit. Qui voit croit mais qui croit me verra. Obscur est le désir qui te tourne vers moi. Obscur, le cheminement de ton âme dans son dépouillement. La confiance seule te guide qui, sans doute, te tourne vers moi. La confiance est le chemin qui mène à mon cœur de miséricorde. Confiance, ma bien-aimée, accepte ta pauvreté. Offre-moi ton tourment, ces sentiments d’absurde. Sois! Sûre de moi, de mon action divine en tes profondeurs. Consens à «te laisser agir» sans plus rien désirer, sans plus rien construire.Non : prie ton chapelet… intercède… offre-toi par Marie et ne te regarde pas ! Cesse de te juger, de voir tes manques, de buter sur tes défauts, tes impuissances. Mieux ! Saisis-les pour rebondir dans la louange, car plus la faiblesse de ma créature se révèle, plus il me plaît de la relever, afin qu’éclate en elle la toute-puissance de mon amour. Alors, reçois cette parole : Axelle, je t’aime ! Moi, Dieu de toute éternité. Je t’ai créée et choisie pour vivre une très grande dépendance d’amour, seule garante de mon action divine. Je t’attends — tant et tant — Je suis tel un amant posté devant la porte de son aimée qui convoite l’instant où elle ouvrira sa porte et lui permettra d’entrer. Oui, devant toi, enfant, je me fais homme. J’accepte de t’attendre et de souffrir tes reculades. Ne tarde pas, et donne-moi du temps !… Axelle, je te pardonne, te bénis et me réjouis en toi avec mon Père et l’Esprit-Saint. Va en paix !

Jésus. Ton Dieu.

Message du 07/08/2000

Tu crains de t’égarer quand tu conseilles les âmes ?

Ma Parole coule et tu la reçois limpide. Tu fermes ton cœur ? Elle cesse. En rien, je ne m’impose. Accueillir ma Parole, c’est m’accueillir. « Et le Verbe s’est fait chair, et il a habité parmi nous »… Donne-moi ton temps — ne filtre pas — écris. Acceptes-tu de veiller pour me donner du temps ? A 3 heures je t’attends, car tu le vois, il n’y a pas de place en ces journées d’été pour nos cœur à cœur.— Oui, Seigneur! Oui, oui ! Eveille-moi seulement, je te prie ! — Tourne ton cœur à chaque instant vers moi. Je suis là, ne l’oublie plus. Puis, j’ai pris le chemin du retour dans la nature si paisible et embaumée de mille senteurs, la louange s’élevait d’elle-même en mon cœur, je relisais tout cela… Le plaisir que tu prends à relire ce que j’écris par toi me ravit. Ces paroles rejoignent la mission. Ta mission, qui est de mener les âmes à Dieu. Tu crains de t’égarer lorsque tu conseilles les âmes ? C’est bien… mais, si présomptueux ! La créature peut-elle prétendre à l’infaillibilité ? Pour l’instant il te suffit de rester petite, consciente de tes faibles moyens, sûre des fruits de tes expériences cependant, mais humble et suppliante pour invoquer mon Esprit-Saint avant tout entretien. Puis, avec ta bonne volonté, investie de l’autorité que te confère celui qui vient à toi…, écoute, et vois se dégager une ligne de conduite, aide-le à préciser son cap. Tu ne te tromperas jamais en montrant le chemin que Je suis. Ton travail s’adresse à l’âme. Il consiste à l’aider à sentir et mieux comprendre le mouvement qu’elle doit faire pour se tourner vers moi. Et ma Parole, puisée dans l’Evangile, vient toujours à l’appui. Non, ne crains pas, enfant : si une âme vient à toi, c’est que je l’y conduis. Prie-moi et admire le projet admirable que j’ai sur elle. Aider à sa réalisation est ta contribution. La folie de ton cœur qui croit en mon projet sur elle — folie qu’aucun péché ne doit rebuter, mais que la confiance envers moi, la compassion envers l’âme, doit habiter — laissera ma lumière éclairer l’autre que tu dois enfanter en moi en quelque sorte. Sois en paix. On juge l’arbre à ses fruits. Reste près de mon cœur source de tout bien, puise dans mes trésors qui sont tiens par ma volonté affectionnée. Va, je te bénis,

Jésus

Message du 17/08/2000

Des travers de la langue…

Que ta bouche se scelle plutôt que de dire ce qui est mal chez l’autre. En chacun, évertue-toi à voir ce qui est bon et cela seulement : exerce-toi. Ton effort, quel qu’il soit, ne saurait vaincre ta nature, aussi, implore ma grâce et, désormais examine-toi le soir sous mon regard : Ai-je médit ? M’en suis-je aperçu ? Me suis-je alors laissé entraîner : M’en suis-je justifié intérieurement pour continuer ? Ou bien, ai-je stoppé ? Offre-moi ton cœur et tes lèvres, ma grâce seule les purifiera ! N’aie crainte, j’y veillerai… si tu veux bien mettre en pratique chaque jour mes recommandations. Autre aspect des travers de la langue : la glorification personnelle qui est toujours une offense à mon amour. Ainsi l’âme s’empare des trésors du Royaume pour se faire valoir aux yeux du monde. Insidieusement se glisse entre nous le vilain qui brouille l’intimité, et l’âme, pour finir, travaille pour elle et non plus à la réalisation de l’œuvre de l’Eglise. Que faire ? Pas de faux abaissements, de médisance ou de calomnie contre soi-même. Non, de la mesure. On ne témoigne pas à tous propos. Souviens-toi de cette règle sage : ne pas parler plus longtemps de Dieu que l’on a prié ce même jour. Voilà la sagesse.

Message du 17/08/2000(2)

Ce soir, je viens te rappeler l’ascèse

Ce soir, je viens te rappeler l’ascèse, car je te veux témoin fidèle : bonne, douce, patiente et charitable — pour TOUS, chacun ! Par la prière humble, persévérante et permanente, l’âme grandit dans la vertu qui la rend humble de la vraie humilité : paisible et heureuse, jamais triste, jamais compassée mais toujours et toujours davantage attentive à l’autre… Cet effacement seul rend l’âme transparente et rayonnante de mon amour. Ne crains pas. Je ferai tout. Comprends, implore. Reçois et jubile, petite âme. Offre-moi tout : le trouble de ton âme. Tout ce que je t’ai dit s’accomplira. Sois sans crainte. Toi, accomplis ta part, sans t’émouvoir de l’apparent manque de résultat. Nul ne peut mesurer l’œuvre de la grâce en chacun. Confie-toi à Marie — réfugie-toi sous son voile — et ne doute pas. Avance, poussée par la brise de mon souffle d’amour qui te comble. Hisse tes voiles, enfant ! Tu ne dois jamais rien refuser quand on fait appel à ton amour. Je m’occupe de la charge du fardeau que vos épaules auront à porter. Venez à moi ! Celui que tu sers, l’autre, c’est toujours moi, dans l’autre. Axelle, je t’aime ; abandonne-toi et livre-toi au feu de mon amour. Soyez plus ponctuels et assidus à la prière du rosaire et à faire tout ce que Marie vous demande, car, ce qu’elle vous dit, c’est pour votre bien et participe à la réalisation de mon plan d’amour. Enfants de Marie, soyez toujours plus humbles et plus aimants. Recevez ma bénédiction. Soyez fortifiés toujours plus dans l’amour mutuel.

Jésus, votre maître qui vous aime

Message du 24/08/2000

Tout vrai cheminement spirituel doit être accompagné

Le remue-ménage autour de l’oratoire doit cesser. Ce que vous devez faire est inscrit dans vos cœurs. Que chacun s’y réfère et tout sera bien fait. Il vous faut vous donner et bénir chaque difficulté. L’oratoire sera beau, il sera magnifique. Les cœurs s’y livreront à mon amour. Viens recevoir ma paix… Lorsque l’on vient déloger Satan des profondeurs d’une âme, il ne quitte jamais la place sans labourer l’âme de ses griffes acérées. Sur ces plaies je verse le baume de ma miséricorde et le miel de mon amour. L’âme apaisée se sent réconfortée. La paix alors en son cœur peut régner, et la joie! A cela, on reconnaît les miens. Aussi, reste très douce, mais toujours exigeante. Ne crains pas d’être celle qui vient déranger les faux équilibres bâtis sur des sables mouvants. Tant que l’âme ne repose pas sur le Rocher que je suis, Satan peut se jouer d’elle et la déstabiliser. Si le cap reste fixé sur moi, l’âme se retrouve en moi et sort toujours davantage purifiée de chaque épreuve. Met-elle le cap sur elle-même, et la tempête menace et se déchaîne — qui peut emporter l’âme. Voilà pourquoi tout vrai cheminement spirituel doit être accompagné. En vérité, je te le dis, avant peu, les troubles éclateront, car personne, ou si peu, se soucient de moi — Dieu. Non, chacun vaque à ses affaires et s’éloigne toujours davantage du Chemin. Insensiblement l’esprit de corruption, l’affadissement du sens moral, le goût pour ce qui nuit à la santé du corps et de l’âme deviennent la norme. Ah ! mes enfants, comme je suis las de vous voir si résolument vous éloigner de moi. Convertissez-vous avant qu’il ne soit trop tard ! Que chacun se mobilise et fasse des efforts. Que chacun prie l’Esprit-Saint, demande l’amour et la lumière. Ainsi, je pourrai répandre mes grâces.

Jésus qui meurt sur la croix du monde !

Message du 13/09/2000

Aspirez à l’amour, afin qu’il vous transforme…

Par l’amour seul tu connaîtras mes voies. L’amour est à l’amour le chemin et la voie. L’amour se reconnaît, car il porte la paix, Devant lui tout s’incline, se tait, se fait docile, Car l’amour attire à lui ses enfants. Un seul désir les anime alors: S’y adonner, se laisser façonner, Et l’âme émerveillée sent mon onction passer. Aspirez à l’amour, afin qu’il vous transforme, Aspirez à l’amour afin de me connaître. Vivez de cet amour, par lui, Et devenez semblables à lui ! Telle est votre foi, votre espérance, le seul chemin… Accueillez donc, enfants, le désir de Dieu, Qu’il dépose en vos cœurs Comme un joyau précieux. Puis, laissez-vous « happer », ne luttez plus. Jésus, votre Roi d’amour, vous attend en tous temps. La table est dressée, les serviteurs sont prêts. Ah ! Venez sans tarder… soyez compatissants : Ne souffrez plus que votre Dieu souffre seul.

Message du 13/09/2000(2)

Faites corps avec votre vie

Comprenez : se convertir, c’est se retourner, ne plus se regarder mais ne voir que Dieu ! Dieu qui s’est fait pleinement humain afin de vous rejoindre. Dieu qui quête votre tendresse, vos regards, vos pensées, car il vous aime et veut vous exaucer, car il vous aime et veut vous combler. Allez, ne tardez plus : offrez-vous tout à lui, il vous a donné sa vie en partage, c’est pour l’éternité. Souffrez donc vos fardeaux dans la confiance. Offrez-les, portez-les. Enfin ! soyez ce que vous devez être : de fidèles disciples, soucieux de faire la volonté du Père, attentifs à ne pas désirer ce qui ne lui plaît pas. Soyez comme les tout-petits : UN avec ce que vous avez à vivre. Faites corps avec votre vie, telle qu’elle est, et donnez le tout à Dieu afin que tout lui serve. Lui saura « élaguer » ce qui ne convient pas, redresser ce qui ploie, guérir ce qui souffre. Enfants, soyez confiants, donnez-vous, que dis-je ! Abandonnez- vous, ou bien, prétendez-vous faire par vous-même une meilleure œuvre que celle de Dieu ? Ce sont désirs présomptueux… Lâchez tout, offrez tout ! Tout est grâce, qui demeure. Le reste passe… Laissez l’œuvre de Dieu s’accomplir en vos cœurs. Il veut vous éblouir, vous réjouir. Le combat est gagné, Christ est vainqueur, alléluia ! Entrez dans l’éternité dès à présent. Comment ? En croyant. La Sagesse, qui prépare vos cœurs aux merveilles du Dieu trois fois Saint qui vous bénit.

Jésus, ton ami

Message du 14/09/2000

Prier et faire prier, en rappelant sans cesse les vertus de Marie

Voilà que mon projet à tes yeux se révèle : tu et vous irez par les chemins du monde porter ma paix, ma joie et ma lumière. Sous le voile de Marie, dans cette onction très douce, vous irez réchauffer ce qui se refroidit, porter ma vraie Parole, pour convertir les cœurs. Vous irez découvrir les sentiers que je trace à ceux qui m’ont choisi. Vous irez selon votre mission : prier et faire prier, apportant mes conseils et rappelant sans cesse les vertus de Marie : douceur, simplicité, grandir dans la vertu en entrant dans son imitation, en se demandant : « Cela plaît-il à Marie et Jésus ? » Votre maison sera votre nid, votre ancrage, mais tel le Seigneur vous marcherez sur les sentiers du monde, poussés par mon Esprit, bénis, avec l’onction de Marie. Aucun projet n’est trop ambitieux ni trop grand quand il s’agit de servir le Seigneur. Je t’emplis de mon Esprit — enfant bénie — afin que tu me donnes aux âmes et que l’on ose toujours davantage m’aimer. Entends-moi bien, enfant, je ferai tout. Moi, ton Dieu sauveur, dont le cœur est un pour toujours avec celui de Marie. Ouvre ton cœur, petite secrétaire du Seigneur, et bénis-le! Il te révèle, ce jour de sa Croix glorieuse, ses plans. Crois, aime, jubile. Ton Dieu prend en ton cœur ses délices. Exulte avec mes anges, et rayonne l’amour. Ainsi ai-je dit, ainsi cela sera-t-il.

Jésus, qui te surprendra toujours davantage.

Message du 14/09/2000(2)

Fuyez vos «bonnes consciences», fuyez vos «assurances»

Quant à toi, petite âme, viens, je vais te bénir. N’étouffez pas les œuvres de l’Esprit-Saint. Gardez vos cœurs chauds et embrasés au feu de mon amour. Fuyez vos « bonnes consciences », fuyez vos « assurances ». Votre Dieu est un pauvre qui n’a ni tanière, ni lit, ni lieu où reposer sa tête. Offrez-moi donc vos cœurs afin que j’y demeure et que par mon Esprit je puisse guider vos pas. Enfants, comprenez donc que rien de bon ne sort du cœur de l’homme. Seul Dieu est Saint ! Voilà pourquoi Marie est avec vous ! Soyez ses tout petits, sinon prenez garde, vous qui vous glorifiez ! Ecoutez… et reconnaissez vos fautes. Je vous libérerai… Sois docile, ô ma petite aimée, écris et souffre en paix, avec moi,

Ton Jésus tourmenté par d’atroces douleurs lancinantes, assoiffé sur la Croix…

Message du 19/09/2000

Seule l’humilité allume en ton cœur le brasier

Humilité, humilité, humilité. Seule l’humilité allume en ton cœur le brasier d’où surgit la charité et ses œuvres de miséricorde. Reste petite, petite au creux de la main du Père, lovée sous le voile de Marie, bercée par le souffle puissant de l’Esprit qui pour ton cœur se module en brise légère. Sois effleurée par l’étreinte du Christ souffrant. J’ai tant besoin de cœurs donnés, donnés, tout donnés, qui agissent comme s’ils n’agissaient pas, qui se laissent agir, guider, façonner, modeler. Petite âme, aucun retour ! Va, où que tu ailles, c’est là que tu dois être. Je veille sur tout, sur les tiens, ta maison. Va, rien ne peut t’arriver que je ne permette. Va, va où ton cœur te porte. Je suis là, toujours avec toi. Ne crains pas ! Garde ton cœur chaud et éveillé à ma présence intime et constante. L’amour s’appuie et se répand en toi, peu le perçoivent vraiment, mais déjà certains pressentent le mystère de ton âme ouverte sur l’infini de mon amour, de la sagesse, et de ma vérité qui est justice et paix. En toi mon mystère s’accomplit et, si ces propos te dépassent, inscris-les, un jour tout se comprendra mieux. Viens et reçois ma bénédiction. Reçois ma paix ! Je te guéris de toute infirmité. Porte-moi à chacun.

Jésus, ton Dieu et Sauveur

Message du 21/09/2000

Vous qui empruntez les sentiers escarpés du Carmel

Mes enfants, vous qui empruntez les sentiers escarpés qui tentent de joindre le sommet du Carmel, les épreuves vous attendent, seul moyen de renforcer vos cœurs et de vous préparer à La rencontre. Dieu se donne, soyez prêts ! Les épreuves vous renforcent, elles affermissent votre détermination. Elles vous dépouillent aussi du superflu et de tout ce qui vous alourdit. Aussi, bénissez, bénissez, bénissez Dieu qui permet que vous soyez éprouvés. A-t-il épargné son Fils Jésus, le Sauveur du monde ? Bénir dans les difficultés, non une possibilité, mais le devoir du disciple. Le cri qui vous permet d’affirmer votre confiance, non pas seulement en paroles, mais en vérité.

Message du 26/09/2000

Tu dois coudre tes vêtements

Parole : Marc 10, 28-30 : Pierre : « Voici, nous avons tout quitté, et nous t’avons suivi. Jésus répondit : Je vous le dis en vérité, il n’est personne qui, ayant quitté, à cause de moi et à cause de la bonne nouvelle, sa maison, ou ses frères, ou ses sœurs, ou sa mère, ou son père, ou ses enfants, ou ses terres, ne reçoive au centuple, présentement et dans ce siècle-ci, des maisons, des frères, des sœurs, des mères, et des enfants, et des terres, avec des persécutions, et, dans le siècle à venir, la vie éternelle. » Tu coudras. Je vais te revêtir de l’habit qui convient à celles qui m’ont choisi. La ligne : longue et fluide. Les couleurs du ciel : bleu, gris, blanc, écru. Et, quand il se dore du feu nouveau : rouge, jaune et orangé pour accueillir ma venue. Je te Surprends ? Sache que tu n’as rien vu. Tu voyageras pour moi, en tous lieux, tu proclameras ma Loi, tu appelleras ma paix et chacun, portant son regard sur toi, saura que tu es à moi. Pourquoi le rouge, le jaune et l’orangé ? Pour clamer l’espérance, pour affirmer la joie dans la foi ! Les apôtres n’étaient pas toujours vêtus de brun et de noir. Les robes de fête aux couleurs dorées égaieront mon attente, car je suis las, enfant ! Las de voir tant de tristesse, de récriminations dans les cœurs qui me sont si soi-disant consacrés.

Jésus, ton ami

Message du 26/09/2000(2)

Moi, ton Père, je te revêts de joie

Enfant, laisse-nous faire, conforme-toi, obéis. Sers-nous sans comprendre, car voici que j’approche. Je vous revêts de ma joie. Accueillez-la, exultez et dansez pour votre Dieu qui craint de prononcer son jugement sévère. Viens consoler mon cœur, ô ma petite aimée. Moi, ton Père, aujourd’hui je t’accueille et te revêts de joie. La joie qui irradie, la joie qui illumine. La joie qui apaise ma colère qui vient. J’entends chaque prière que murmure ton cœur. Ta foi, je l’entretiens. Ta joie, je te la donne, car il me plaît à moi, Dieu, d’avoir besoin de toi, créature donnée que l’on ne remarque pas. Tu parles lorsque je te presse, tu te retires, par toi, j’agis. Moi, ton Dieu, je te le dis : mon plan pour ta mission aura commencé à s’accomplir avant la fin de l’an. Heureux celui qui croit, Car pour lui les promesses s’accomplissent. Heureux celui qui loue quand tout se tourne contre lui, Car en lui je me glorifie. Heureux celui qui me sourit, confiant, Je le prends au creux de ma main. Celui-là je le garde : place ! Devant lui tout doit s’incliner, Car dans mes voies, il marche Et mes anges le servent, Et s’il faut, le défendent, Lui passe sans l’ombre d’un tourment au visage ! Ecoute, ô mon aimée : tu pars pour ce stage. Garde ton cœur en ma présence constante. Je guide le moindre de tes pas, de tes désirs, je recueille tes larmes, tes soupirs. J’agis avec puissance, afin que chacun sache qui tu es pour moi. Sois en paix, sois confiante, ouvre ton cœur, ouvre tous tes sens. Laisse-toi conduire. Je t’appelle, Axelle, à partager ma gloire. Prends garde à me louer en tout !

Ainsi Yahweh des armées a-t-il parlé !

Message du 28/09/2000

Le ciel se penche vers toi… et je m’y sens chez moi

Tu es ma sainte enfant, tu es mon bel amour quand ton cœur en mon cœur s’élance et prend son vol ! Ne te réjouis pas de la grâce qui t’est faite, réjouis-toi seulement de ce que je t’ai créée et de ce que ton nom est inscrit dans les cieux. Mes grâces ne s’épuisent pas, elles sont pour chacun de vous, mais si peu les accueillent, et si peu savent ne compter que sur moi ! L’amour brûle en ton cœur qui consume tout ! Aussi, offre-toi pour accueillir les blessures de ceux que je mets sur ton chemin, car je veux les brûler au feu de mon amour. Joie, enfant, joie et exultation. Jubilation dans ton ciel plein d’étoiles, car dans la communion, le ciel se penche vers toi. Ainsi tu le reflètes et je m’y sens chez moi. Sois enfant — Sois simplement.

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