Message du 07/10/2000

Soyez un afin que mon règne vienne dans vos cœurs

Enfants, demandez-vous : pourquoi sommes-nous réunis ? et sachez que c’est afin d’apprendre à mieux goûter mon amour. Or mon amour vous conduit où vous ne sauriez aller de vous-même… Sachez que Satan fuit lorsque vous êtes tous réunis mais qu’il attaque spécialement ceux qui refusent le sentier de la douce obéissance. Méfiez-vous de vous et de tout ce que votre cœur vous inspire et remettez-vous en mon amour. Ce lieu, ce temps sont lieu et temps de grâces, mais aussi de combats. Abandonnez-vous, car je suis déjà vainqueur. Avec moi, soyez un afin que mon règne qui est paix, amour et joie, vienne dans vos coeurs. Voulez-vous partager ma joie ?

Message du 10/10/2000

Liberté pour migrer en ma divine volonté

Inéluctablement ce qui n’est pas mien se détache. Je suis : devant moi ma lumière dessine les contours de ma gloire. Hors de celle-ci, rien n’existe. En moi toutes choses sont contenues. Le reste n’est qu’illusion laissée au pouvoir éphémère de Satan. Engendrée de toute éternité, chacune de mes créatures a sa note à jouer dans ma divine partition, mais qu’en est-il de celle qui veut choisir le ton, le moment de sonner et se veut autrement que je ne l’ai voulue ? Elle se détache et sonne, seule, son propre glas. Cette liberté est nécessaire pour que chaque âme puisse prendre son envol en mon cœur de miséricorde et choisisse de migrer en ma divine volonté. Car sans cette adhésion véritable et profonde, l’âme ne serait ni unique ni porteuse du devenir du monde, mais simple parcelle de ma divinité. Or, vous êtes chacun appelés à partager ma gloire et ma divinité sans aucune entrave et pour l’éternité.

Message du 10/10/2000(2)

Il n’y a pas des interprétations possibles, il y a une vérité

Alors, sur cette terre, il y a le combat. Il ne suffit pas de me dire : « Seigneur, je suis à toi ! » ou : « Seigneur, que ta volonté se fasse en moi ! » Il faut qu’en vérité, l’âme m’accepte sans rien chercher à retrancher, sans rien chercher à adapter de ma Parole, telle que je vous l’ai transmise. Elle est révélation, dans son entièreté. Il n’est que de l’admettre et, sous ma lumière, de demander que les apparents paradoxes s’éclairent. Par exemple : « L’homme et la femme ne font qu’un, une seule chair… ce que Dieu a uni »… et : « Au ciel, il n’y a ni mari, ni femme!…» Il n’y a pas des interprétations possibles. Il y a une vérité. Ce que vous ne comprenez pas, déposez-le en moi. Je me révèle à ceux qui attendent tout de moi et je me cache à ceux qui se croient capables de comprendre ma Parole et qui l’interprètent au gré de leur fantaisie du moment. Mes touts petits, ne vous laissez pas impressionner par les savants…Heureux le pauvre qui, saisi par l’Esprit, Jubile par le Verbe et simplement agit. Car ma Parole est vivante et Qui l’entend en vérité ne peut rester en lui-même enfermé. C’est cela la liberté des enfants de Dieu : être saisi par le souffle de mon Esprit, élevé au cœur de la contemplation de mes mystères grandioses dans leur simplicité, leur vie… Un jour au ciel tout vous sera révélé… Mais déjà la contemplation d’un seul mystère suffit à faire goûter à l’âme les délices du Royaume où règne la toute-puissance de mon amour, source intarissable, car sans cesse engendrée, de tout bien. Enfant, laisse-toi porter par le Verbe. Telle Marie, tu as choisi la meilleure part. N’en doute pas! Contente-toi de ce que je te donne dans chaque entretien. Reste en paix.

Ton Jésus, Maître et Seigneur qui t’aime d’un amour très ardent

Message du 15/10/2000

Il faut bien que tu souffres, car le monde gémit

Ne crains pas, petite fille, n’aie pas peur ! Aujourd’hui je te revêts de la grâce de paix dans l’adversité. N’aie pas peur. C’est ainsi que leurs pères ont traité les prophètes ! A ceci même tu vérifies douloureusement que leur combat est tien ! Petite prophète, voix choisie pour sonner clair avant la Tempête ! Petite aimée, en moi tu trouveras toujours ton repos et, au jour de la Désolation, tu brilleras d’une flamme si claire que mes petits viendront se rassembler près de toi afin de me rester fidèles. Alors, ma Parole, que tu délivreras, sera bue et goûtée par chacun. Pour l’heure, il te faut endurer comme par avance, la tribulation que mon Eglise connaîtra. Voici le doute, la suspicion et même l’opprobre qui rôdent autour de toi. Revêts-toi, enfant de l’armure de la foi, du bouclier de l’espérance et chausse les sandales du zèle qui te pousse vers tes frères bien-aimés pour ouvrir leurs yeux sur leur aveuglement. Ne juge pas tes actions sur leurs réactions. Non, fais-toi servante du Très Haut et accomplis Sa parole même si cela t’attire des regards méprisants, des jugements et tout ce que ma miséricorde évite que tu saches ! Reste docile, enfant, soumise, car je t’aime et j’ai besoin de ton fiat. Donne-moi tout. Demande la grâce de ne rien désirer qui ne soit mon désir. Enfant, nous avançons et le ciel se réjouit de l’œuvre qui s’accomplit en toi. Aime, aime, aime et n’aie que ce désir, aimer à en mourir. Offre, offre, offre-toi et accueille avec joie l’ombre de ta croix. Unis-la à la mienne. Je te redresserai. Accepte bien humblement les reproches de chacun. Demande- leur pardon mais ne renonce jamais à parler en mon nom, car la vie t’est donnée afin de proclamer Dieu vivant en chacun et comment le trouver. Ne crains pas, j’élargirai ton cœur aux confins des souffrances et de tous les malheurs. Ton cœur transpercé, par l’union à Marie, sera source de grâces pour ceux qui te croiront. Laisse cette compassion qui dilate ton âme et que tu sens œuvrer par toutes les fibres de ton être, laisse-la travailler tes profondeurs intimes afin que tu sois conformée à ton Christ bien-aimé. Il faut bien que tu souffres, car le monde gémit, étreint par les souffrances, prémices de son enfantement. Joie des agneaux, immolation, joie de la Croix, alléluia ! Sens ma joie, vis de ma vie, accepte tous les anéantissements, car Dieu te couve de sa tendresse même et te fera connaître au jour que lui seul a choisi. Ne doute pas, sois ma joie, éprouve ma paix, et parle simplement. Sois toujours en paix. Si ton désir profond est de me servir, quelles que soient les déconfitures ou l’adversité, je ferai de ta vie un témoignage manifeste de mon amour de prédilection pour toi, petite âme donnée.

Dieu, ton Père, te bénit à présent, prosterne-toi devant lui !

Message du 15/10/2000(2)

Dans la lumière, la vérité jaillit !…

Exulte ! Jubile ! Réjouis-toi, car ton Seigneur vit en toi. Ce jour, je t’ai renouvelée, reconstruite et je vais t’inspirer ce que j’attends de toi très précisément. N’oublie jamais que je suis un Dieu d’amour, de justice et de paix et que dans ma lumière, la vérité jaillit ! Tourne-toi vers moi, et resplendis ! Je t’enseignerai à gérer ton temps. Demande-moi ce que tu dois faire, quand et comment, et obéis seulement. Va, je te bénis. Il n’est pas de plus grande joie pour un Dieu dont le cœur librement s’enchaîne dans le tabernacle, que de voir une âme qui s’attarde et ne peut le quitter. Ah ! toi qui viens à moi attirée par l’amour, recueille précieusement tous nos doux entretiens, ils sont les oraisons que je réserve à ceux qui sont miens chaque jour davantage. Va, mon enfant, va, je pars avec toi et ne te quitte pas, Va en paix ! Amen !

Ton Dieu qui prend ta faiblesse en pitié.

Message du 16/10/2000

Par ton amour tu ouvriras une brèche dans leurs enfermements

Viens, petite âme, j’ai à t’entretenir ! Aujourd’hui, choisis-moi à chaque instant. Aime-moi et tâche de reporter cet amour sur chacun de tes sœurs et frères. Demande pardon à chacun de ce que tu as pu le blesser sans le vouloir, de ce que tu n’es pas la mieux expérimentée, et surtout demande pardon de ce que tu n’as pas su l’aimer comme il convient. Aime-moi, enfant, et chaque jour viens envelopper en ton cœur l’image de chacun du même amour dont se tisse notre relation. Petite âme, que de tendresse alors je pourrai déverser dans leurs âmes. Ainsi, par ton amour, tu ouvriras une brèche dans leurs enfermements. Voilà l’exercice de ce jour, que je te donne. Veux-tu t’y exercer ? Puis, chère enfant, crois de tout ton cœur que vous pouvez être rassemblés et que j’aime chacun du même amour que je te manifeste si fort. Va, œuvre bien. Reste dans la paix de mon amour.

Ton Jésus qui t’enseigne

Message du 17/10/2000

Aime-les du même amour que tu me portes

Sèche tes larmes, enfant ! Regarde-nous, petite enfant ! Réjouis-toi en nous ! Petite flamme embrasée au feu de l’amour divin, tu te désespères de ne pas t’élever afin de demeurer toujours dans cette paix divine, dans cet embrasement et cette exaltation si douce… Offre-nous en sacrifice cet amour qui déborde et tourne-toi vers tes frères. Ils sont à mon image. Recherche avec amour ma présence même cachée au cœur de leur cœur. Aime-les, enfant, du même amour que tu me portes. Je te renvoie sur terre. Là, tu dois accomplir l’œuvre que je t’ai fixée. En moi, puise la force, la paix, la douceur et l’amour. Ma joie vient en surcroît. Décide-toi, enfant, ce matin, à renoncer à désirer toujours plus de délices en moi. La joie de te savoir unie à moi doit te suffire. Recherche ma paix, et transmets-la. Je ne veux pas te priver de nos embrasements. Je veux que tu acceptes un temps d’y renoncer, afin d’être plus proche des tiens, de ceux qui souffrent autour de toi. N’aie pas peur. Voici que vient pour toi le temps de ton désert. Reste armée de la foi et de l’espérance qui produisent leurs fruits de charité. Sois simplement. Aime simplement. Donne simplement. Accepte ce jeûne de nos étreintes, sensibles à ton âme exaltée. Je suis là de toute éternité. En moi trouve ton repos, en moi puise la force d’aimer. Prie, prie, prie, et reste la fidèle enfant de Marie. Je te bénis, enfant chérie.

Jésus Christ, Roi des rois

Message du 19/10/2000

Je veux régner en Maître

Reste en paix. Laisse-moi guider le cours de tes pensées. Je suis le Chemin et je suis le berger. Pour ce soir, laisse-moi orienter, illustrer, évoquer dans les cœurs ma présence. Je veux régner en Maître sur l’assemblée. Tu as bien travaillé. Ouvre ton cœur. Aujourd’hui j’agis avec puissance. Viens recevoir l’Esprit-Saint afin que par son souffle, tout soit renouvelé en toi. Va en paix et viens recevoir ma bénédiction.

Amen, c’est Jésus qui l’a dit !

Message du 19/10/2000(2)

Que ta voix clame ce que je dicte à ton cœur

A présent, écris : Petit troupeau choisi, âmes fidèles, réjouissez- vous, car je vous mets en réserve pour servir mon plan d’amour. Je ferai de chacun de vous un témoin vivant de mon amour. Vous serez le signe que j’enverrai à vos frères pour les faire rentrer au bercail. Réjouissez-vous et veillez, car j’approche. Ouvrez vos cœurs et accueillez ma volonté que ce soir j’exprime. Votre Dieu trois fois Saint Maintenant parle, proclame à haute voix ce que je t’ai dit ! Pour toi, enfant, sache que je t’ai mise en réserve afin que ta voix clame ce que je dicte à ton cœur. On te craindra, on te rejettera mais aussi, on te redoutera. Je ferai sentir ma présence en toi. Aussi, parle toujours quand je te l’ordonne, et donne-toi, donne-moi sans ces perpétuels retours sur toi-même qui font battre ton cœur quand tu luttes contre moi. Ne crains pas. Je te libère toujours davantage du regard des autres et je te donne, dans l’Esprit, le regard de l’amour : mon regard. Oui, plus que l’or tu goûtes ma sagesse ! Viens, enfant chérie, toi qui crois en moi, les fleuves d’eau vive coulent déjà de ton cœur. Laisse l’Esprit-Saint chanter en toi, qui t’inspire ces chants pour guider les âmes vers moi.

 

Message du 19/10/2000(3)

De grands dérèglements climatiques

Ecoute, ma fille, prête l’oreille ! On n’écoute pas la voix de mes agneaux et le monde s’éloigne toujours plus de la prière. Avant trois mois de grands dérèglements climatiques vont surprendre tous les scientifiques. La France ne sera pas épargnée : inondations, raz de marée, digues rompues viendront exprimer le débordement de ma colère. Alors, repentez-vous, priez et jeûnez et implorez ma miséricorde… Quand à toi, prends conscience de ton rôle, bientôt tu auras à transmettre ce que tu reçois. Prépare ton cœur. Viens puiser en mon cœur la force. Dépose en lui tout doute. Sens la crainte de Dieu qui t’étreint, et parle et avertis. Je te remercie pour ton « travail » et je te bénis, enfant chérie. Va en paix,

Jésus

Message du 24/10/2000

Ne te désespère pas si tu ne maîtrises pas bien ton temps

Continue, mon enfant. Continue sans cesse ta prière confiante pour ta paroisse, son prêtre et chacun de ses enfants. J’intercède auprès du Père afin qu’il exauce vos prières et que, renouvelés par son Esprit, vous puissiez faire de cette église un haut lieu de prière, un phare qui éclaire au loin les alentours… Les enfants se réveillent, apprends- leur à prier. Mets-y tout ton cœur. Plus ce que tu leur dis est simple, mieux ils s’en souviendront. Ne te désespère pas si tu ne maîtrises pas bien ton temps, confie-moi ton planning, offre-moi tes journées. Ce qui compte avant tout, c’est de donner à Dieu la première place et de tout lui offrir : les réussites, les échecs et aussi toutes les occasions « manquées », les pertes de temps, les états embrouillés… Tout ceci, Dieu le guérit par sa lumière d’amour bienfaisante qui ordonne toutes choses en les mettant à leur juste place. Enfant, reste dans la joie, la confiance et l’amour. Bénis Dieu de te donner cette grâce de paix, don précieux, afin de servir l’Eglise et chacun de ceux qui t’approchent. Tes larmes sont si douces que les anges les recueillent. Elles viennent abreuver les âmes assoiffées du purgatoire. Donne-toi sans rien te réserver ! Je te bénis, enfant, de ma toute spéciale et maternelle bénédiction,

Ta Maman du ciel

Message du 24/10/2000(2)

Laisse chanter ton cœur sous le souffle de l’Esprit

Enfant, dépose en mon cœur de Père, sans cesse, ta plainte pour tes frères : ceux qui ne connaissent pas Dieu, mais aussi ceux qui se sont éloignés. Prie et intercède sans cesse, car j’entends tes prières, petite âme fidèle à sa vocation à l’amour. Laisse chanter ton cœur sous le souffle de l’Esprit. Il égrène son chant et la joie du ciel déborde sur la terre quand je me penche vers mes enfants. Reçois le don de paix qui t’établit en moi. Va et dors.

Ton Abba chéri

Message du 26/10/2000

Dieu ? Il est amour… Il ne nous mettra pas en enfer !

Ma fille, prête l’oreille, reste avec moi pour parler. Enfant chérie, les temps sont là. Il vous faut vous jeter avec toute l’énergie dont vous disposez dans mon cœur de miséricorde. Comprenez que je vous aime et veux vous faire grâce. Enfants aux cœurs endurcis qui, d’un ton désinvolte, lancez : « Dieu ? Il est amour, alors c’est sûr, il ne nous mettra pas en enfer ! » … Enfants, mesurez-vous l’insolence de ces propos ? Mesurez- vous la portée de ces affirmations où n’entre nul amour de votre part ? Dieu est amour, dites-vous, et il vous doit tout, car il vous aime ! Est-ce ainsi que vous comprenez l’amour ? Est-ce ainsi qu’entre vous, vous vivez ? Et trouvez-vous juste, sous prétexte d’amour, de faire n’importe quoi et de multiplier les offenses à l’aimé en en attendant tout ? Eh bien, je vous le dis : si vous agissez ainsi, même si l’amour vous donne en vérité tout, votre cœur endurci ne le saisira pas, car vous serez coincé au cœur d’une citadelle aux murailles d’autant plus infranchissables que vous aurez admis que l’amour qui donne tout, n’est qu’à sens unique. Non, enfants ! Apprenez que l’amour est principe vivant, circulation au cœur de la Trinité Sainte par l’Esprit qui emplit notre vie trinitaire et qui, sans cesse, agit par son mouvement un et multiple entre le cœur du Fils et le cœur du Père, spirale infinie, embrasement sans cesse renouvelé. L’amour se donne et se reçoit, tout à la fois dans un instant et pour l’éternité. Et cela, non de façon statique mais dans un mouvement qui se déploie et se « rapproche » tout à la fois. Demandez à l’Esprit-Saint d’ouvrir vos cœurs à l’Amour et je vous le dis, vous comprendrez petit à petit, ce qu’est la hauteur, la profondeur et la largeur de l’amour qui est Dieu. Laissez ces paroles simplement vivre en vous… et, n’admettez plus les sentences que vos lèvres prononcent et qui sont des offenses à votre Dieu infiniment bon.

Votre Dieu trois fois Saint

Message du 06/11/2000

Combien peu de cœurs veillent encore dans les congrégations !

Ne crains pas. Reçois ma paix. Je veux t’entretenir : Où vont mes troupeaux ? Vers quelles pâtures sont-ils dirigés ? Quel sentiment domine le cœur de ceux que j’ai appelés et qui m’ont consacré leur vie ? Ah ! tristesse et désolation. Las ! Combien peu de cœurs veillent encore dans les couvents et monastères ! Il faut crier, enfant, crier bien fort combien ton Dieu, votre Dieu, Dieu qui crée en chaque instant la vie, l’univers et tout ce qu’il contient, combien je suis las de sentir les cœurs s’attiédir. Tout est prétexte à se détourner de moi. On réfléchit beaucoup dans les congrégations. On se réunit, on débat, on envisage. Tout cela pour tenter de bouger, tout cela pour masquer l’immense tristesse et l’amertume profonde de tant de cœurs qui n’osent même pas s’avouer qu’ils sont découragés, qu’ils ont perdu toute espérance. Rien ne sert de se réunir et de discourir, si ce n’est pas l’Esprit-Saint qui suscite ces rassemblements. Mes enfants, faites vite, reconnaissez combien vous aimez peu votre Dieu. Ne vous sentez pas coupables de ne pas m’aimer : culpabilité stérile, mais humblement présentez-vous devant moi et reconnaissez combien votre cœur est froid. Restez là, ne fuyez pas, ne vous justifiez pas. Croyez que vous devez aimer votre Dieu, et demandez-lui de mettre dans votre cœur l’amour dont il veut vous sentir remplis ! Demandez, mes enfants, et vous recevrez. C’est si Simple ! Je donne à celui qui reconnaît son impuissance à répondre à mon amour par l’amour, car c’est la vérité ! Convertissez- vous à présent. Cela s’adresse aussi aux cœurs hautains, raisonneurs, ceux qui savent, ceux qui jugent, ceux qui se croient importants dans l’Eglise, car ils ont des responsabilités. Prenez garde : nul n’est mien, quelles que soient les apparences, si son cœur n’est pas rempli de mon amour, mendiant de mon amour. Tout est dit ! Saisissez-vous de ma Parole et reprenez-vous, car voici que j’approche ! Que nul ne se désespère en lisant mes propos ! Je parle, j’avertis et ma Parole porte une onction de guérison. Toi, dont le cœur est dur, ce jour, si tu le reconnais, et si tu crois en moi, ce jour, je te guéris, et te bénis, enfant chéri !

Jésus, Berger et unique Sauveur du monde

Message du 07/11/2000

Les vérités essentielles qu’on n’aime pas en ce temps…

Axelle, ne minimise pas le travail que vous faites sur les chants. Ils sont un signe de la vitalité de mon Eglise et mettent à la portée des cœurs, par la musique qui les dispose à s’ouvrir, les vérités qui sont si essentielles mais qu’on n’aime pas, en ce temps, à se rappeler. D’abord : l’espérance de ma venue dans la gloire et le but de mon Eglise, qui est de rassembler toutes les familles de la terre dans un même élan de reconnaissance envers Dieu, l’Emmanuel. Oui, Jésus est Sauveur du monde par son incarnation, dans laquelle il choisit la mort infamante de la croix pour expier tous les péchés afin que l’homme soit sauvé et que tout homme qui croit puisse jouir pour l’éternité des biens du Royaume éternel. Or souvent on s’arrête à l’Incarnation. On «étudie» Jésus de Nazareth et l’on perd de vue toute la gloire, sa gloire à laquelle il vous convie. Dans cette perspective, il est bien naturel que l’on évacue aussi la croix ! On énonce «Jésus est mort pour nous sauver» mais, sans même approcher le mystère profond de la Rédemption auquel chaque âme doit s’unir en vérité, ainsi que je l’ai dit : «Que celui qui veut être des miens, prenne sa croix et qu’il me suive!»

 

Message du 07/11/2000(2)

Il n’est aucune croix accueillie que je ne porte moi-même

Prendre sa croix c’est accepter sa part de souffrance et me suivre. C’est unir son amen au mien. Cette adhésion de la volonté vous rend participants du mystère de la Rédemption, vous unit à moi, et vous assure de participer un jour au banquet du Royaume. Contemplez ma gloire, espérez, enfants, car les temps qui viennent sont difficiles, ouvrez vos cœurs, comprenez l’essentielle espérance afin de tenir bon dans la tempête. Et comment ? En embrassant avec amour vos croix. Elles vous redresseront. Il n’est aucune croix accueillie que je ne porte moi-même. Je vous l’ai dit : «Venez à moi, vous qui ployez sous le poids du fardeau, je vous soulagerai.» Appuyez-vous sur ma Parole. Apprenez-la par cœur, Afin qu’elle vive en vous ! et que par elle, vous viviez. Ces temps sont laissés afin de vous affermir dans la conversion. Chaque temps est mesuré mais vous vivez, enfants stupides, comme si vous étiez dans l’éternité. Et, quelle éternité ? Plaisirs physiques, bien-être matériel. Tout ceci peut vous être retiré. Préparez-vous en labourant vos terres en jachère et semez dans les sillons bien frais mes paroles de vie. Enfants qui m’écoutez et cherchez à garder vos cœurs en éveil, Dieu vous bénit :

Père très aimant, Fils très doux dans sa douleur Esprit très généreux qui vient vous vivifier. Amen !

Message du 10/11/2000

Quand tu ne seras plus rien, alors je serai tout en toi

Enfant, enfant ! Laisse l’Esprit prier pour toi et former la louange. Laisse-le s’épancher et ne travaille pas. Je te l’ai dit : quand tu ne seras plus rien, toi, alors je serai tout en toi, Moi, Dieu ! Je te demande si tu souhaites que s’accomplisse en toi ma volonté très sainte ? Veux-tu me dire oui ? Reprends les démarches pour les artisans de l’oratoire. Fais diligence, car j’attends le moment de la bénédiction de cet oratoire des Cœurs unis de Jésus et Marie pour répandre les grâces dont chacun a besoin. Ne tarde pas. Ne crains pas. Engage toutes dépenses avec confiance, car je prends soin de vous. Va, enfant, va travailler et reviens ce soir prier. Je te bénis et t’envoie dans l’action.

Jésus, ton guide bien-aimé

Message du 13/11/2000

Prends ton « inspir » en moi

Veux-tu bien que je te parle ? Prends ton « INSPIR » en moi, enfant qui ne prend pas assez soin de son corps. Il t’est confié comme tous tes talents et aptitudes. Place-toi sous mon regard. Ne crains pas et coopère à tes guérisons bien plus activement. Je suis là pour toi. Regarde-moi, donne-toi simplement, fais silence.

 

Message du 14/11/2000

Les âmes que tu arraches à l’emprise de Satan

Donne-toi sans te réserver. Ce qui compte ce sont les âmes que tu arraches à l’emprise de Satan en te faisant canal de ma grâce. Chacune m’est précieuse et cela est la vraie priorité. Cela compte plus que la satisfaction de l’accomplissement de toutes les tâches matérielles de ton devoir d’état de maman. Ton devoir premier, là aussi, c’est de porter chacun dans la confiance la plus limpide et ferme ; confiance en l’action de mon amour pour conduire chacune de leurs vies. Ne crains pas, place-moi toujours à la première place dans tes journées, dans tes priorités, dans tes sentiments, dans tout ce que tu fais et dans tes paroles. Toi, dont j’ouvre la bouche afin qu’elle me proclame et m’annonce et me fasse désirer par les cœurs attiédis et endoloris de cette génération. Choisis-moi et maintenant prends ton repos en Marie.

Endors-toi, enfant, je te bénis. Amen..

Message du 16/11/2000

Comme jadis sur les routes de Palestine…

Comme jadis sur les routes de Palestine pour mes disciples, il me plaît de t’entretenir simplement, enfant, quand tu chemines. Je t’enseigne et te guide, car tu es mienne et dois porter du fruit ! … Ce que ton regard contemple autour de toi, je le vois comme toi, et le monde de tes pensées et désirs m’est présent avec la même acuité, mieux qu’à toi-même. Je veux que tu saches qu’à tout instant, tout ce qui est autour de toi, je l’ai voulu pour toi. Ainsi, ce pâle soleil et les nuages tels, exactement qu’ils sont disposés, la senteur de l’air portée par une brise qui souffle par bouffées : tout cela est pour toi. Je te l’offre en cadeau afin qu’à travers ma création tu me trouves et t’élances dans la louange. Ce regard là est vrai. Laisse les moqueurs se gausser en lisant ces lignes. Je suis Dieu et nulle intelligence ne parviendra à saisir les contours infinis de mon amour, ainsi que son extrême ajustement en affinité, par mon vouloir divin, aux désirs de ceux qui m’aiment. Mystère de l’amour ! Insondables sont les profondeurs des entrailles de Dieu. Seul l’enfant les parcourt sans le moindre tourment et la joie l’inonde en retour. Que celui qui a des oreilles entende !

 

Message du 16/11/2000(2)

Un homme partit à la pêche

Un homme partit à la pêche avec ses deux fils qu’il avait formés. Une fois en mer, l’aîné disposa le filet, le lança correctement puis il se coucha et dormit. Le cadet travailla tout le jour sur le bateau afin de rendre le pont propre, bien brillant, et installa les bacs pour recueillir les poissons. Lancé dans son action il ne vit pas la marée passer, et n’osa pas réveiller son frère. Quand ils relevèrent le filet, il était trop tard, le filet s’était rompu et beaucoup de poissons s’étaient échappés ! Maigre pêche ! A ton avis, quelle fut l’attitude du Père ? Médite cela aujourd’hui. Ce soir, je t’éclairerai. Voilà la suite de l’histoire : l’aîné, bien formé, a bien accompli son travail correctement, puis, il s’est reposé sur ses lauriers. Satisfait de lui, il s’est endormi. Tout ce qui a été perdu, l’a été par sa négligence coupable ! Ainsi êtes-vous, vous qui recevez toutes grâces et en tirez profit ! Encore faut-il ne pas s’endormir sur son bien. Pour tout talent, je vous demanderai des comptes. Quant au cadet : rempli de zèle pour son travail, il en oublie l’heure ! Il aurait pu avertir son frère, mais il veut respecter son sommeil ! Le cadet pèche par humilité mal placée qui l’empêche d’agir ! Vous êtes comme l’aîné lorsque, content d’avoir proclamé mon nom, vous vous en remettez à moi et ne poursuivez pas plus avant votre évangélisation. Vous êtes comme le cadet lorsque vous vous absorbez dans vos apostolats divers dans l’Eglise et oubliez l’essentiel. Pour chaque poisson qui s’échappe, chacun aura donc à rendre des comptes. Que dit le Père : Enfants incapables, je vous avais pris à mon service, pensant être mieux servi ! Allez chez d’autres maîtres apprendre votre métier, puis revenez vers moi quand vous serez formés. Il ne suffit pas d’aimer Dieu pour bien le servir, il faut s’appliquer à faire sa volonté en y mettant tous les moyens dont on dispose. La vertu majeure ici contre illustrée est la persévérance ! Veillez, mes chers enfants, veillez, ne craignez pas ! Ne craignez jamais d’être seuls, car avec vous, si vous marchez pour moi, se tiennent tous les anges et les saints qui, déjà, savourent toutes mes victoires. Craignez de vous endormir ! Craignez aussi de trop vous laisser absorber par vos tâches matérielles ! Veillez, vous dis-je ! L’amour se refroidit ? Il est signe des temps, car voici que je viens ! Priez et sans relâche allez vers vos frères, semant la Bonne Nouvelle, mais, songez à garder, protéger, et arroser tous ces champs nouvellement ensemencés. Inventez des solutions ! Vous contribuerez à l’œuvre de ma grâce dans ce cas seulement. Quant à moi, pauvre Roi, je ne m’impose pas ! Mes sujets sont libres de me choisir ou non. Je répands sur chacun mes grâces en abondance. Surveillez vos filets, ne les laissez pas craquer… mes grâces s’échapperaient. Videz-les plus souvent devant moi. Rendez grâce pour chaque don. Faites-le vôtre en le faisant servir aux autres : tel est le grand secret… Le Père leur dit donc : Enfants, ni l’un ni l’autre je ne vous garde à mon service. Vous voici trop gâtés et bien peu attentifs. Allez de par le monde apprendre votre métier. Vous penserez souvent à ce dont vous jouissiez : paix et sécurité ! Il vous faut à présent faire preuve de débrouillardise, car sinon vous resterez sur votre faim. Vous m’avez sans me reconnaître. Cherchez-moi, vous me trouverez.

 

Message du 26/11/2000

Vos larmes d’amour abreuvent les âmes des défunts

Ma toute petite, sèche tes larmes et écris : Le flot des larmes de l’amour, salé par vos peines en compassion aux souffrances du monde, vos larmes qui s’écoulent quand vous me contemplez souffrant mon agonie et toutes les étapes de ma Passion, mais aussi vos larmes, fruits du désir de votre cœur qui veut rejoindre le mien et qui soudain contemple l’abîme infranchissable entre le néant de la créature et la splendeur sublime du Seigneur tout-puissant ! Toutes ces larmes d’amour, mes anges les recueillent avec un soin jaloux… Elles viennent abreuver les âmes des défunts qui sont dans les douleurs de leur enfantement au ciel ! Ah ! comme elles leur sont précieuses ! Chaque larme est pour eux comme un courrier que vous leur adressez. Elle vient les rejoindre et leur parler de l’intime communion de tous mes enfants… Eux qui, désormais, savent et n’aspirent plus qu’à moi, souffrent mille langueurs de n’être point tout près de la source de l’amour divin. Ils peinent et gémissent sans fin, assoiffés… Il n’est plus temps pour eux de se faire mes témoins, il n’est plus temps pour eux de briller et d’être mes petites mains pour aider et soulager leurs frères… Leur temps s’est écoulé… les grâces sont épuisées, qu’ils n’ont pas su garder afin d’être fortifiés… Ils pleurent amèrement mais leur cœur est tourné désormais vers le mien à jamais… et l’espérance est chevillée à leur âme. Aussi, ils prient pour vous qui êtes dans les ténèbres, intercédant et suppliant sans cesse afin que le plus grand nombre se convertisse, accueille mon amour et sache en témoigner… Ils sont dociles et non pas résignés mais participants contrits et acquiesçants du temps de purification que ma justice, qui est amour, a dû leur imposer. Priez-les afin que vos yeux se dessillent et que vous rendiez grâce pour toutes les prévenances dont ma providence ne cesse de vous combler. En cette année du Jubilé, tant d’âmes ont pu être libérées par vos prières, sacrifices, et toutes perfections que vous avez offertes à leurs intentions. Vivez chaque jour votre messe avec tout votre cœur et soyez présents pour déposer dans mon cœur les âmes de ceux que mon Père a rappelés à lui. C’est la prière au cours de l’Eucharistie qui est la plus précieuse à ceux qui attendent encore que s’ouvre la porte tant désirée de ce lieu où l’on participe au banquet du Royaume. Vos larmes, tes larmes, petite, sont comme les cailloux du petit Poucet. Elles tracent le sillon lumineux qui mène à ces délices. Ces âmes les cherchent comme un cadeau précieux. Sois en paix — reçois ma paix.

Jésus, ton Dieu et ton ami qui te bénit !

Message du 27/11/2000

Vois mon cœur de gloire et adore-le profondément

Enfant, prends ton « INSPIR » en moi qui te dispose à m’écouter. Oui, sois ce cœur en écoute qu’il me plaît de visiter. Appelle-moi si je te manque. Je suis là, toujours prêt à me communiquer, toujours présent à vos moindres questionnements… Contemple mon cœur uni à celui de Marie et à tous ceux qui se sont laissé configurer à ma ressemblance. Vois ce Cœur de gloire. Il brille de tous ses feux et illumine jusqu’aux confins des ténèbres les plus profondes et, chaque acte d’amour vient l’abreuver encore. Tel le mouvement de l’eau qui vient du ciel pour abreuver la terre puis y retourne ou de celle qui, jaillie des sources cachées, rejoint l’océan puis le ciel ; et ainsi de suite… Tout amour prend sa source en mon cœur et inscrit chacun de ses actes ou pensées en lui-même. L’Esprit-Saint qui est amour est la vie de cette circulation. L’invoquer, c’est par lui me rejoindre et par moi, le Père de toutes grâces. L’Esprit-Saint, qui est amour, procède du Père et du Fils, c’est-à-dire émane de chacun d’eux et circule entre eux. Mais, vois ce Cœur blanc et adore-le profondément ! Enfant, seule l’adoration vous dispose à l’amour. Je suis venu pour unir à jamais la terre au ciel, renouvelant et scellant la promesse faite à vos Pères. Je suis Jésus, vrai homme et vrai Dieu, mais désormais HOMME, avec un corps, une chair glorifiée pour l’éternité. Petits enfants, allez lire le grand livre de la nature. Il est image des réalités les plus ultimes et mystérieuses. En elle, Dieu se donne, ouvrez vos cœurs, souhaitez voir et entendre. Alors, vous vivrez dans un émerveillement sans cesse renouvelé, guidés par l’Esprit-Saint qui n’est que tendresse pour chaque âme désireuse de se mettre en chemin vers Dieu. Je vous bénis, et toi, petite, reçois ma joie en ce jour de grâce de l’année jubilaire, et prie. Amen ! Va en paix.

Jésus, votre Dieu

Message du 01/12/2000

A celui qui s’en remet au Père, tout est parfait !

Tu es prête, eh bien, écris : Cette douce chaleur que tu sens, telle une brume, s’élever en tourbillons heureux en ton cœur, est un signe pour toi lorsque tu reposes en moi, que l’Esprit-Saint vient entraîner ton cœur dans son grand mouvement d’amour vers le Père. Ecoute, enfant, et comprends : nul ne peut discerner les signes si cela ne lui est donné par l’Esprit-Saint ! Celui qui se dépose en moi, je le conduis à mon Père, si, au plus intime de son cœur, il souhaite que sa volonté s’accomplisse en lui… La crainte, les angoisses, les retours sur soi-même sont les écueils principaux de cet abandon. Rien ne sert de dire : « Je veux faire la volonté de Dieu », pour enchaîner : «mais pourvu que telle chose arrive ou n’arrive pas!» Non ! A celui qui s’en remet au Père : tout est parfait ! Je ne viens pas pour les âmes saintes, immaculées et transparentes, je viens guérir et aider. Alors il faut que chacun, au lieu de se lamenter, de mettre en avant ses combats, se dépose en moi humblement, en me remettant ses soucis, non pour que je les résolve à sa convenance mais pour qu’à travers ceux-ci la volonté de Dieu s’accomplisse, et pour que l’âme, par moi, soit dégagée du poids écrasant de ses croix. Tout me remettre, cela signifie croire en moi, Jésus sauveur, Jésus «qui rend les fardeaux légers». Il ne faut pas discuter l’Ecriture. Non ! Laissez cela au malin. Il faut la prendre en soi avec un unique désir : s’en nourrir afin d’être, et de devenir, ce qu’elle dit ! Nul idéal inaccessible, ma Parole est vivante, elle vous édifie. Croyez, enfants, laissez-vous modeler. Ce que vous ne comprenez pas, vous devez l’admettre avec votre cœur, et chercher à y adhérer par la foi, qui n’est que dans l’obscurité!

Ton Dieu qui prend ta faiblesse en pitié.

Message du 01/12/2000(2)

Le cœur : seul chemin qui mène à Dieu

Comme l’homme de ce temps, l’homme d’Occident a perdu le chemin de son cœur ! Comme ils sont tristes, ceux qui ne savent plus que penser, construire, élaborer des systèmes dans leurs intellects privés de la sève du cep que Je suis. Ils ont perdu l’unité de leur être et sont en grand danger. D’un côté leur tête, certes bien faite, bien remplie, remarquable d’analyse, de synthèse, etc. ; et de l’autre leur cœur livré à tous les tourments de leurs passions et sous la coupe de leur intelligence coupée de la vraie vie, de repères Sûrs ! Que de suicides, de désespoir et de chemins de mort dans la drogue et tant d’autres égarements, en sont le résultat ! La seule intelligence qui édifie est celle du cœur. Sagesse que l’on se dispose à acquérir par la pratique des vertus, dont l’obéissance, et par l’exercice du discernement. La Sagesse est don du Saint Esprit, à chacun de se préparer à l’acquérir en comprenant l’enjeu : Être et vivre en Dieu, ou bien S’en détourner inexorablement ! Le « converti » reçoit la grâce que son intelligence saisisse enfin par le cœur la réalité. Cela le réunifie et lui permet de recommencer à vivre en Dieu. Demandez la grâce de conversion, vous qui vous désespérez et ne savez comment vivre pleinement votre foi, vous qui êtes encore prisonniers de vos têtes. Voilà pourquoi j’ai répandu la dévotion à mon Sacré-Cœur, et à celui du Cœur Immaculé de Marie. Ils vous indiquent le seul chemin qui mène à Dieu : le cœur. Contemplez nos cœurs et venez, désirez-vous y déposer tout entier. J’exauce tout désir sincère, car je vous aime.

Jésus, votre Dieu

Message du 06/12/2000

France, tu déshonores ton nom

Chaque jour se lève et l’insulte s’affiche davantage. Où donc suis-je honoré, et qui me considère ? Où sont-elles, mes nations pourtant privilégiées ? France, tu déshonores ton nom. En ce jour, tu signes et mon courroux s’enflamme. Chacun s’affaire à satisfaire ses besoins et soigne ceux qui lui sont propices. Même les pauvres sont aidés, non par amour et compassion, mais bien souvent pour servir d’alibi à des désirs plus troubles. France, où sont tes repères ? Où cours-tu sans élan ? France, repens-toi !

Ton Dieu

Message du 12/12/2000

Je veux te parler de mon règne qui vient

Ce jour, enfant, rends grâce à Dieu notre Père, car ce que je viens t’enseigner te seras ainsi qu’à d’autres, bien précieux. Je veux te parler de mon règne qui vient : Par toute la terre, en ce jour, les yeux du cœur de mes agneaux se dessilleront et ils verront ma gloire. Je leur manifesterai la toute-puissance de mon amour et l’aube se lèvera en leur cœur, qui verra ma lumière croître jusqu’au zénith. En ce jour régnera par toute la terre la Térèbre. Nulle flamme ne brillera plus, nul astre dans le ciel ne sera plus visible et rien ne se percevra plus qui serve à s’orienter… Alors, ne craignez pas, vous qui m’êtes dévoués, réjouissez-vous, car voici le temps où je manifesterai ma gloire. Priez et veillez pour ne pas entrer en tentation. Voici que sonnera, pour votre humanité, l’heure de son agonie. Ceux qui auront su accueillir et recueillir toutes les grâces de conversion que je répands à profusion maintenant, ceux qui auront souvent pris le chemin d’aller se réfugier contre le cœur de Marie, sous son voile, ceux qui auront habitué leur cœur à être présent en ma présence, ceux-là, et ceux-là seulement se mettront à briller et se révéleront mes témoins. Petites lumières d’amour, vous serez mes relais, car dans vos cœurs je régnerai, installé sur un trône de lumière, et mon astre brillera, qui attirera vers vous tous mes pauvres petits, égarés en ce monde pervers. Il y aura bien des surprises, car mes agneaux chéris ne sont pas forcément ceux que l’on croit. Nul rang n’est acquis dans mon Eglise, seul l’amour vous approche au plus près de sa source que Je suis. Alors viendra le temps de mon règne dans les cœurs. Il se transmettra par le cœur, de cœur à cœur, tel une flamme que l’on se transmet et ce, jusqu’à embraser chacun de mes enfants, chacun de ceux que le Père m’a destinés. Et la joie débordera et ma paix régnera et l’amour vivra entre tous. Voici mon règne qui s’approche. C’est une royauté d’amour, qui n’a pas plus aujourd’hui que jadis en Palestine, de visées temporelles. Mais, par mon règne dans les cœurs, la volonté de mon Père s’accomplira et sera source du renouvellement de toutes vos institutions. J’approche, ouvrez vos cœurs, croyez que ma lumière vous éclaire et ne doutez plus en chaque instant. Maintenant, JE SUIS LÀ – Accueille-moi, toi qui lis ces lignes et réponds-moi : Veux-tu que j’établisse en toi, Sur ton cœur ma royauté d’amour ? Demande-le simplement. Je suis le Christ miséricordieux. Je viens guérir, purifier, redresser, oindre de mon baume de miséricorde toute âme désireuse en vérité de m’appartenir. Je viens et nul verrou ne résiste à ma toute-puissance, nul lien, nulle blessure. Il n’est que de m’appeler. Je prépare ainsi mon peuple et un jour, toujours plus proche, ma gloire se lèvera soudain par toute la terre, qui viendra sauver ce qui semblait perdu ! J’attends toujours, et encore plus que jamais votre OUI. Sachez que l’amour est doux, patient, miséricordieux, humble et aussi, par vos refus : toujours crucifié. Par pitié pour votre Jésus souffrant et immolé dites-moi : Oui, Seigneur, viens régner sur mon cœur ! Je bénis avec la toute-puissance de mon amour miséricordieux ceux qui m’auront entendu aujourd’hui. Je vous promets de vivre déjà sur terre les merveilles du Royaume si votre oui est oui. Amen.

Jésus-Christ, Sauveur du monde

Message du 11/12/2000

Il est petit, à l’image des cœurs qui ont accès au mien

Soyez bénis, enfants chéris, vous qui vous affairez pour finir l’oratoire. Ce lieu est l’un des lieux qu’en mon Eglise, à ce jour, je chéris tout particulièrement. Il est petit, à l’image des cœurs qui ont accès au mien. Il est fait par obéissance à mon désir que Marie exprima très clairement et dans la foi puisque chaque étape est engagée en s’appuyant sur moi seul, avec la confiance en ma très sainte providence. Je vous bénis, enfants, ne craignez pas et ne ménagez pas votre peine. Pour chaque effort offert en vérité, je répandrai le flot de mes puissantes bénédictions sur ce lieu et sur ceux qui y viendront. N’ayez crainte, remettez-moi tous vos soucis, je les ferai fructifier et je vous donnerai ma paix.

Jésus Christ

Message du 13/12/2000

Ces âmes sauront que ces messages s’adressent à elles

Paix sur toi ! Reçois ma paix qu’aucun trouble, tu le sais, ne peut atteindre. Accueille-la en ton âme un peu lasse et fais silence ! Voici ce que tu feras : tu rassembleras toutes les paroles que je t’ai adressées, même celles du début, et tu donneras l’ensemble à lire à quatre de mes prêtres. Puis, nous relirons ensemble et je t’indiquerai ce que tu dois garder, car cela ne concerne pas les autres. Alors tu enverras cela chez trois éditeurs… Et bientôt, chacune des âmes que j’ai choisies pour l’appeler à travers ce que je te donne, pourra trouver la nourriture « prédigérée » qui reconstitue, afin d’être remise sur le chemin de l’Eglise, malgré toutes les difficultés, les blessures et les éloignements causés par les circonstances de sa vie. Ces âmes sauront que ces messages : « Entretiens avec Jésus pour aider les âmes à s’élancer vers lui », s’adressent à elles. Prie beaucoup, enfant. Comprends mon projet. Ne te laisse pas troubler. Aime, aime-moi toujours simplement. Tout cela doit circuler. N’aie crainte.

Jésus Christ

Message du 18/12/2000

Le chemin douloureux vers la mort du corps…

Sois en paix ! Pour ce qui est de ceux que tu accompagnes dans leur douloureux chemin vers la mort du corps : prends-les en toi par l’amour. Dépose-les avec une tendre confiance dans les bras de Marie et prie, et bénis, et réjouis-toi, car nul ne sera perdu qui se sera confié à Marie durant sa vie sur la terre. Tu dois seulement relayer leur volonté défaillante quand leur esprit s’embrume et que Satan déploie tous ses artifices pour les décourager et les couper de Dieu. Alors, dans la communion des saints, il suffit de « prendre le relais » avec confiance et de ne pas douter. Ah ! comme ils me sont chers, tous ces pauvres malades qui se sont perdus eux-mêmes mais que mes petites âmes soutiennent par leurs prières ! Qu’ils viennent à moi, je les accueille avec toute la tendresse de mon amour. Ne crains pas. Garde toujours ton cœur ancré dans l’espérance la plus ferme en ma miséricorde infinie. Je te bénis et t’envoie vers ton amie malade, ce jour. Va !

Ton Jésus

Message du 26/12/2000

Berceuse de l’Enfant-Jésus

1 Dors, petit enfant, dors! Endors-toi simplement. Dors, petit enfant, dors, je veille sur toi maintenant. 2 Je suis l’Enfant-Jésus. Je suis né dans la crèche Et comme tous les bébés, je dors et dors et très longtemps. 3 Mais mon sommeil m’éveille à toute la vie du ciel. Et j’y rejoins les anges, et j’y rencontre mon Père. 4 Ne crains pas, belle enfant, prends ton temps avec moi, Et ne te soucie pas, en ce temps béni, de veiller. 5 Je t’entraîne à ma suite pour partager mes sommes, Tel est mon bon plaisir, veux-tu bien m’obéir, enfant ? Le monde est si triste et si gris pour mes enfants chéris, qu’ils en tomberaient malades ; mais dans ce temps béni, je veux les consoler et les réconforter et c’est au cœur de ces nuits saintes, dans l’intimité la plus profonde des cœurs de ceux qui m’aiment que je viens redonner ma paix. Ma paix pour panser toutes leurs plaies. Aussi, endors-toi mais garde-moi toujours présent, moi ton petit Jésus, Enfant-Dieu qui veut qu’on le chérisse comme les petits, en tous temps. Viens, je suis le seul chemin pour aller vers le Père, redeviens toute petite et comprends combien je t’aime. Reçois ma paix, goûte ma joie, et dors, enfant, dors.

Ton Jésus

Message du 27/12/2000

Fais-toi accueil et don

Offre-toi, offre-toi, Offre-toi à moi, Dieu, en tout, pour tout ! Fais-toi accueil et don afin de n’être plus qu’un en moi. Résorbée, unifiée, redonnée par moi au monde !

 

Message du 31/12/2000

J’attends vos oui, j’implore vos oui !

Mes bien-aimés, venez, approchez-vous tout près de moi, regardez-moi et désirez en vérité n’être plus qu’un en moi. Je vous appelle, je vous supplie, décidez-vous et donnez-vous tout entiers à votre Dieu. Donnez- lui ainsi la permission qu’il supplie, humblement couché dans sa crèche, d’être avec vous en chaque instant, et de vous guider dans ce monde si obscur ! Désirez, enfants, désirez du désir que Dieu lui-même insuffle en votre cœur. Laissez l’Esprit prendre sa place, toute sa place et ainsi vous renouveler, vous guérir et vous envoyer en mission. Mes bien-aimés, je vous appelle ce soir : vous plaît-il de devenir apôtres et missionnaires ? Voulez-vous, placés sous le voile de la très sainte Vierge, parler de mon amour et chanter ses merveilles aux hommes qui sont vos frères et qui m’ignorent encore ? J’attends vos OUI, j’implore vos OUI ! Qu’attendez-vous ? des assurances ? la sécurité garantie ? la Santé ? la reconnaissance du monde ? les honneurs et la réussite ? la fin de tous vos problèmes d’argent et de vos soucis Matériels ? Sont-ce là tous les biens auxquels vous aspirez ? Eh bien, ne cherchez plus : je suis Dieu et je veux vous combler. Tous vos désirs profonds, sincères et vrais, je veux les exaucer. Je vous promets la gloire et la vie éternelle. Je veux vous partager tous mes trésors divins : il n’est aucun domaine que je veuille réserver mais répondez-moi: quelle volonté faut-il privilégier ? La vôtre, limitée dans tous les sens du terme, ou la mienne, parfaite et souveraine ? Sur chacune de vos vies, j’ai un plan bien précis, une volonté inscrite dans le geste qui vous créa, et attestée aux yeux du ciel lors de votre baptême. Chacun de vous m’est précieux et unique. Chacun a une mission bien précise dans l’œuvre de la création. A chacun d’ouvrir son cœur à la grâce afin d’accueillir mon vouloir divin. Nul ne trouve le bonheur sur cette terre sans accomplir ma volonté divine. Et ce bonheur est intime et profond : il s’accommode de toutes les difficultés, obstacles et souffrances, car dans cet accomplissement, l’être sait qu’il est à sa place. Il agit donc sans doute, sans retour sur lui-même et surmonte par la confiance ce qui est amer et difficile. Point n’est besoin de connaître Dieu pour accomplir sa mission, mais pour celui qui connaît Dieu, qui demeure en lui, un chemin de lumière se dessine. Pauvres âmes chrétiennes ! Perdues dans ce monde, errant dans l’obscurité, vous n’aspirez même plus à partager ma joie ! Et pourquoi laisser en jachère toutes les grâces reçues lors de votre baptême ? et tant, et tant d’autres ? En vérité, pauvres âmes à la dérive, vous ne croyez que peu, si peu, en la toute-puissance de votre Dieu, et je vous vois bien résignées à laisser Satan et ses légions régner ! Ce soir, je vous appelle : réveillez-vous! Votre Dieu vous attend. Faites-moi don de vous, et de tout ! Alors vous saurez que vous êtes mon peuple. Je serai votre Dieu ! Ensemble nous avancerons. Je serai devant et vos cœurs ne finiront jamais de grandir pour chanter mes merveilles ! Ainsi la Jérusalem céleste se révélera aux yeux de chacun de ceux qui sont miens !

Je vous bénis, Moi, le Dieu du ciel et de la terre !

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