Ma Parole coule et tu la reçois limpide. Tu fermes ton cœur ? Elle cesse. En rien, je ne m’impose. Accueillir ma Parole, c’est m’accueillir. « Et le Verbe s’est fait chair, et il a habité parmi nous »… Donne-moi ton temps — ne filtre pas — écris. Acceptes-tu de veiller pour me donner du temps ? (07/08/2000)
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Soudain surgit une motion et tu te sens poussé à dire ou faire ceci ! Lorsque la source se met à couler, nul ne peut l’arrêter. L’eau est pure, aucune souillure ne peut la salir. C’est le trop-plein qui s’écoule… (13/04/2000)
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Ma Parole est vérité, elle ne t’appartient pas. Par toi, il me faut enseigner mes petits : tout de vos vies intérieures m’intéresse et pour chacune de vos nécessités, j’ai ma solution. (13/04/2000)
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Il te faudra porter avec tes frères un aspect si essentiel de la rencontre : mon rendez-vous avec chaque cœur. Oui, en guidant la prière vous aiderez les cœurs à se disposer, à s’ouvrir… Vous serez laboureurs et je viendrai semer.(16/04/2000)
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Soyez dociles – vous serez mes témoins- unis – et j’ouvrirai afin que vous aimiez bien davantage. Croyez en mon projet…il dépasse toutes vos espérances… Mourez à vos prétentions. Reconnaissez votre impuissance. Voici que je viens me révéler à vos cœurs. Accueillez mon amour. Amen.(16/04/2000)
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Il faut prêcher la radicalité de ma Parole — la conversion : adhérer du fond du cœur à mon vouloir divin et à mes projets, sans regarder sa faiblesse et son incapacité, mais seulement dire OUI avec confiance, assuré que l’on est, dans l’amour, que Dieu a les moyens de ce qu’il promet. Souvenez-vous : «Regardez les oiseaux des champs, ils ne sèment ni ne moissonnent. » Dire oui, c’est ne plus voir sa pauvreté mais ma richesse. Accepter, et aspirer à mourir à soi-même pour vivre de la vie du Christ : ne plus penser, ne plus désirer, ne plus voir ni entreprendre sans motif autre que ma plus grande gloire.(25/04/2001)
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