Humilité, humilité, humilité. Seule l’humilité allume en ton cœur le brasier d’où surgit la charité et ses œuvres de miséricorde. (19/09/2000) page 111
Mes enfants, regardez-moi souffrant sur la croix. Ai-je choisi la gloire ? Ai-je choisi la lumière du monde ? Non, en vérité, j’ai choisi de tout offrir au Père et d’accueillir sa volonté divine. La nature sembla écrasée, mortifiée… Peu importe. La nature fut sauvée et magnifiée, sublimée. Ainsi, la chair même, pr moi, fut rachetée.(27/03/2000) page 47
Offre avec patience cette souffrance et fais chaque chose avec amour : même et surtout la plus insignifiante, car l’essentiel est l’offrande ! Offre tes pensées, tes sentiments, tes actions. Laisse-toi déposséder, renonce-toi….(27/03/2000) page 47
Mes enfants ! Elle est étroite, la porte qui mène au cœur du Père, et plus étroite encore, la clé qui l’ouvre. Cette clé s’appelle la vraie humilité. Enfants chéris qui vous pressez dans mes parvis, qui me cherchez avidement, qui courez de rassemblements en rassemblements, et qui cheminez si activement vers moi : Prenez toujours un temps avant de venir à moi et posez-vous(15/02/2001) page 168
L’humilité vient à celui qui ne se fait plus d’illusion sur lui-même, car il a perçu, par ma grâce, que tout ce qui semble bon en lui, est infusé par mon Esprit, et que tout ce qu’il produit de lui-même, contrarie toujours mon œuvre. Sans cette clarté essentielle, l’âme s’abîme et peut se désespérer. (22/02/2001) page 173
Que faire ? Faire silence de mots, d’idées, d’activités, d’action et se laisser agir. Ainsi le désespoir, qui emprisonne l’âme, se mue t- il en confiance aimante, lorsque l’âme a vraiment compris que Dieu seul peut la relever, la faire mûrir, grandir, la travailler, afin qu’elle produise le fruit qu’il en espère. « Ah! Se dit-elle, c’est donc cela, se laisser faire par Dieu!…» Et cette humilité conduit l’âme à l’abandon confiant qui fait d’elle le petit enfant qui entre dans le Royaume, dès lors !… Mes petits, il ne suffit pas d’approuver, il vous faut méditer :(22/02/2001) page 173
J’attends de toi que tu sois une servante humble, douce et effacée. Je mettrai sur tes lèvres les paroles de vie, l’audace de proclamer mon nom à la face du monde mais, n’y mets pas du tien ! Plus tu seras petite et plus je serai grand.(17/04/2001) page 194
Très douce enfant, écris, écris docilement. Te voilà trop morose mais combien réaliste ! Oui, je reçois ta peine et tes lamentations. Par toi tu ne peux rien, mais en moi, tu peux tout ! Je puis tout en toi si tu te donnes, comme ce matin ; aussi, ne crains pas, restes-en cette humilité féconde où je puis t’agir et te guider. Reçois ma paix et mon onction très douce afin qu’à ton contact les cœurs s’ouvrent à moi.(26/06/2001) page 225
