Or, l’amour que je vous porte ne souffre en réponse que la transparence du sentiment d’impuissance, le cri du cœur de la nature broyée qui se tourne vers moi dans un élan essentiel… et tu balances encore, sensible aux traits de l’adversaire. Tu te fie à toi-même pour juger et par exemple, tu ne lis pas mes prophetes avec le cœur mais avec défiance… (20/05/2000) page 66
Ton cœur est en mouvement, il bouillonne sans cesse. C’est le seul bouillonnement que j’agrée en vos cœurs, où la paix doit régner et la joie qui s’écoule comme une source claire et vient faire déborder les vasques bien ouvertes. Le feu qui brûle ton cœur, je l’entretiens sans cesse, car il faut que tu brûles afin que tu éclaires les tiens, proches ou plus lointains. Je veux que tu étonnes par la joie de ton cœur. Je te donne ma présence et mon autorité là ou tu passes, le démon se démène… Bénis, il doit céder. Devant moi il s’incline. (02/05/2000) page 60
Cette puissance dans l’Esprit, je te l’ai accordée… Désormais, appuie-toi sur mon nom très saint et ose prier pour mes enfants perdus et tu auras leur foi. (02/05/2000) page 60
Petite aimée, ce temps du 3eme jeudi n’est pas pour toi. Il est pour ceux que je te confie car ton cœur en mon cœur reçoit, pour eux leur nourriture. Accomplis ma parole, autour de toi je choisirai des sœurs et frères afin que ta mission s’épanouisse en joie, ils seront solides, fidèles et fermes. Ensemble vous construirez une demeure à mon royaume. Que rien ne te trouble ! (16/09/1999) page 27
Comme je t’aime, enfant, comme ce cœur à cœur me fait du bien ! Oui, Mon cœur d’homme souffre d’être rejeté, négligé, abandonné, réservé pour des jours de fête… où chacun ne se préoccupe plus que de lui-même et de sa toilette que de moi, dont on commémore – comme un souvenir poussiéreux (19/05/2000) page 65
Où vont mes troupeaux ? Vers quelles pâtures sont-ils dirigés ? Quel sentiment domine le cœur de ceux que j’ai appelés et qui m’ont consacré leur vie ? Ah ! tristesse et désolation. Las ! Combien peu de cœurs veillent encore dans les couvents et monastères ! Il faut crier, enfant, crier bien fort combien ton Dieu, votre Dieu, Dieu qui crée en chaque instant la vie, l’univers et tout ce qu’il contient, combien je suis las de sentir les cœurs s’attiédir. (06/11/2000) page 134
Tout est prétexte à se détourner de moi. On réfléchit beaucoup dans les congrégations. On se réunit, on débat, on envisage. Tout cela pour tenter de bouger, tout cela pour masquer l’immense tristesse et l’amertume profonde de tant de cœurs qui n’osent même pas s’avouer qu’ils sont découragés, qu’ils ont perdu toute espérance. Rien ne sert de se réunir et de discourir, si ce n’est pas l’Esprit-Saint qui suscite ces rassemblements. (06/11/2000) page 134
Mes enfants, faites vite, reconnaissez combien vous aimez peu votre Dieu. Ne vous sentez pas coupables de ne pas m’aimer : culpabilité stérile, mais humblement présentez-vous devant moi et reconnaissez combien votre cœur est froid. Restez là, ne fuyez pas, ne vous justifiez pas. Croyez que vous devez aimer votre Dieu, et demandez-lui de mettre dans votre cœur l’amour dont il veut vous sentir remplis ! Demandez, mes enfants, et vous recevrez. C’est si Simple ! Je donne à celui qui reconnaît son impuissance à répondre à mon amour par l’amour, car c’est la vérité ! (06/11/2000) page 134
Brasier d’amour, je veux transformer ton cœur en une torche qui flambe et embrase toutes les âmes rencontrées. Ta vocation en mon cœur ? Unique ! Aimer, vivre cette joie, se laisser porter, guider, façonner, laisse-moi t’émerveiller ! Rends-toi docile, car je t’aime. Aime. Aime-moi. Aime-les tous. Ne crains pas, accepte tout. Plus ton incapacité t’humiliera, plus je ferai éclater la toute-puissance de mon amour. Alors, l’offrande de tes peines Est ta façon de dire : je t’aime. Efforce-toi, demande pardon. Ne te retourne pas, et sers sans relâche. Va, ton fils va t’attendre ! Lash o shanem. Amen. (22/03/2001) page 185
O viens, ma bien-aimée. Viens, je te requiers, car je t’attends ! J’ai soif de te dire dans ce langage que tu entends directement combien je t’aime, combien mon amour est enflammé, car vois-tu, petite âme, mon amour est feu. Il brûle ! Quel amour est-ce si le sentiment est tiède ? Je viens te dire, enfant : tourne ton cœur vers moi sans craindre aucunement la folie de l’amour. (18/06/2001) page 221
Je veux des cœurs brûlants. Je veux qu’à mon appel tu ne puisses résister. Je veux qu’à tout instant tu saches mon sentiment. L’amour est connaissance. Tu sais ce qui me plaît, alors, imprègne-toi de moi en ces moments si forts où ton cœur se laisse aspirer en le mien. Inspire doucement. La souffrance en cet instant mesure ta résistance. As-tu confiance en moi ? (18/06/2001) page 221

