Reste petite : qu’importe ce que tu es, ce qui importe, c’est de te laisser saisir et transformer par l’Esprit-Saint..(17/04/2000) »
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Ne pleure plus, ne supplie plus. Je suis là. Là, vivant, présent de tout mon amour en ton cœur. Réjouis-toi de ce don : ma vie en toi.(27/02/2000) »
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Ne crains pas, regarde vers moi, avance. Je suis là dans ton cœur, j’y ai fait ma demeure. Tu ne peux me saisir. Fais-toi offrande et don. Ma paix, je te la donne. Que ton cœur exulte, que tes lèvres sans cesse chantent ta louange, car ton Dieu est vivant et nul doute ne subsiste. (25/10/1999) »
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Avance, petite aimée, en toi la volonté de mon père s’accomplit : en toi mon mystère est présent. Il n’est que de laisser ma grâce s’écouler. Lorsque tu ne seras vraiment plus rien, alors je serai là en toute plénitude et de nos cœurs unis jaillira ton chemin : lumière, lumière d’amour au cœur de la térèbre. (01/09/1999) »
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Mène le petit troupeau sur le sentier de l’adoration ! Mon cœur brûle et consume toute impureté. Faites silence mes tout-petits ! Martyre mystique ? Martyre d’amour ! Joie du ciel sur la terre. Offrande, oblation, don. Je répands en partage mes mystères, je t’ouvre mes jardins secrets. Toute crainte s’estompe. N’ai pas peur : ouvre-toi, offre-toi à ton Dieu. Je suis là qui t’aime. Mon cœur est un trésor que tu partageras. J’ai tout accompli. Soyez mes témoins. (25/04/1999) »
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Oui, cessez de lutter et plutôt souriez contre vents et marées, car vos sourires illuminent mon ciel tandis que vos cœurs renfrognés qui sans cesse gémissent et se lamentent sont des citadelles infranchissables. Souriez – dans vos peines, vous ouvrez la porte au roi des rois. J’entre… Ah comme tout se réchauffe ! Je viens avec ma cour et tous mes dons précieux : ma paix, ma joie et tous mes cadeaux : les grâces, et vos cœurs transis commencent à s’attendrir…(18/11/1999)
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Tu es prête, eh bien, écris : Cette douce chaleur que tu sens, telle une brume, s’élever en tourbillons heureux en ton cœur, est un signe pour toi lorsque tu reposes en moi, que l’Esprit-Saint vient entraîner ton cœur dans son grand mouvement d’amour vers le Père. Ecoute, enfant, et comprends : nul ne peut discerner les signes si cela ne lui est donné par l’Esprit-Saint ! Celui qui se dépose en moi, je le conduis à mon Père, si, au plus intime de son cœur, il souhaite que sa volonté s’accomplisse en lui…(01/12/2000)
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La crainte, les angoisses, les retours sur soi-même sont les écueils principaux de cet abandon. Rien ne sert de dire : « Je veux faire la volonté de Dieu », pour enchaîner : «mais pourvu que telle chose arrive ou n’arrive pas!» Non ! A celui qui s’en remet au Père : tout est parfait ! Je ne viens pas pour les âmes saintes, immaculées et transparentes, je viens guérir et aider. Alors il faut que chacun, au lieu de se lamenter, de mettre en avant ses combats, se dépose en moi humblement, en me remettant ses soucis, non pour que je les résolve à sa convenance mais pour qu’à travers ceux-ci la volonté de Dieu s’accomplisse, et pour que l’âme, par moi, soit dégagée du poids écrasant de ses croix. Tout me remettre, cela signifie croire en moi, Jésus sauveur, Jésus «qui rend les fardeaux légers». (01/12/2000)
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Abandonne-toi, enfant, à l’instant présent. Maintenant, je suis là pleinement pour toi. Vois ton cœur tout illuminé par ma présence. Sois en paix. Je le veux. Amen ! (021/03/2001)
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