Je ne te demande pas un simple abandon mental, lénifiant pour ton âme, je te demande l’offrande de ton être jusque dans la chair. Me donnes-tu ton corps ? Me remets-tu ta santé, tes forces, les battements de ton cœur et sa pulsation en chacune de tes veines et artères ? Me remets-tu, enfants, tes yeux ? leurs larmes, ta vue et jusqu’au moindre battement de chacune de tes paupières ? Comprends : j’attends que rien de toi ne puisse m’échapper, qu’en tout je sois ta référence, que ton unique intérêt soit de me servir, témoigner, me refléter, me communiquer. Abandonne-moi ton être, pas seulement tes désirs. Choix de Dieu, choix du Roi, choix du ciel, Choix, mon choix. (28/03/2001) page 190
Choix, mon choix. M’acceptes-tu ? Me choisis-tu ? Voilà, détends-toi. Sens-moi, Sens mon onction couler et glisser dans tes membres… Je me sens si bien ! Envahie par une douce chaleur, jusque dans les bras, les jambes, tout le corps. Je sens Dieu en moi !Paix sur toi ! Paix, petite enfant ! Tu n’es pas la première à connaître cette effusion. Accueille-moi, accueille-la et rends grâce. Voici ma douceur, ma tendresse et mon humilité qui te sont infusées. (28/03/2001) page 190
Réponse à ton offrande que j’ai acceptée. A présent, tu dois tout me demander et ne rien entreprendre de toi-même. Ce jour, scelle notre union plus profonde et je te prêterai mes yeux, mes sens, mes sentiments afin que tu saches, que tu comprennes toujours davantage ce qu’est mon amour. (28/03/2001) page 190
J’ai voulu que tu lises Le petit journal de Faustine, ma vaillante Faustine, afin que tu comprennes encore mieux ce que mon amour d’élection exige de mes âmes engagées. Je suis, tu le sais, le même Jésus qui te parle et qui lui a parlé ; mais aussi le même qui parla à Abraham, Moïse, Daniel et Jérémie. Tu es libre par ton cheminement mais, si tu l’acceptes, esclave de mon amour : un rien qui ne doit jamais plus douter de moi. Exerce-toi activement à cela (28/03/2001) page 190
Ce temps est épreuve afin de t’exercer à ne jamais mesurer ton effort pour moi en fonction d’un rendement que tu estimerais. Agir devant ma Face est ce que j’attends de toi ! Des compagnons viendront et ensemble, vous accomplirez mon œuvre. Ce que tu vis est le temps de l’ensemencement. (22/06/2001) page 224

