Parle-moi, confie-toi à Marie mais souffres-en ton cœur sans faire porter aux autres le poids de ton cheminement spirituel. Ainsi, ton sourire nous gardera unis. Va enfant, rayonne de ma joie. Je te bénis moi, Jésus qui t’aime et connais ta souffrance. Offre-la moi. Je te soulage. Va me rayonner. (02/06/2000) page 82
Unis toutes tes actions à ma volonté sainte et dans l’humilité, tourne-toi vers Marie. Ne te regarde pas, accueille son regard qui est le mien, et, appuie-toi comme ce matin sur une louange tonique. Oui, mon enfant, tu es sur le Chemin que Je suis, et les temps s’accomplissent. Va, je te bénis. (15/06/2000) page 89
Satan est fort pour argumenter en vous ! Voulez-vous apprendre à reconnaître son action ? à discerner ses interventions ? Placez-vous sous le voile de Marie, mettez-vous à son école. Apprenez d’elle la douceur, la simplicité et l’humilité. Vous deviendrez ces petits que je chéris : miséricordieux, c’est-à-dire, qui font grâce aux autres, qui les excusent, qui leur pardonnent, qui les aiment au-delà, par-dessus même leurs péchés. C’est cela, l’amour. Voyez les parents ! voyez-les avec leurs enfants ! voyez comme l’amour les rend «partiaux». Oui, je vous demande les uns envers les autres d’être partiaux ! Choisissez l’amour inconditionnel. Excusez les autres, Acceptez d’être bousculés, dérangés par eux. (24/04/2001) page 197
Ne lâche pas son voile. Il te garde et te protège contre la vanité. Reste dévouée. Cultive la douceur. Regarde-la, regarde-moi sans cesse. Apprends dans nos regards attendris l’attitude qui convient. Enfant, laisse ton cœur se serrer, étreint par la détresse devant les pauvretés du monde, mais laisse-toi cueillir par l’Esprit afin qu’il te transforme et que de ton sein coule à flots toujours plus réguliers, la vie de ma tendresse qui soulage les accablés et stimule les endormis. Regarde vers le trône du Père et porte tes regards vers la cour céleste. Tu sais que ton cœur un jour la rejoindra. Que cette assurance te renforce et te permette de ne jamais mesurer ce que tu donnes. Je te mène, enfant, abandonne-toi simplement et que ton cœur batte la prière et intercède sans jamais céder au découragement. (17/05/2001-2) page 206

