La route est longue petite fleur. Ne te crois pas déjà arrivé, mais ne crains pas, je t’ai établi dans mon cœur ! L’amour que je te porte est tendre, il coule comme le miel du rocher. Ne crains pas, c’est Marie qui guide tes pas. (30/04/1999)
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Sois en paix. Sois sûre de mon amour et pas un seul instant n’en doute. Je sais tout de toi et tant encore ! Je te conduits très sûrement, car je suis le chemin. Ne te tracasse pas avec un quota de prière, mais sans trêve, dépose-toi en moi, dépose-moi les tiens, ceux que je te confie. (14/09/1999)
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Ne crains pas, petite fille, n’aie pas peur ! Aujourd’hui je te revêts de la grâce de paix dans l’adversité. N’aie pas peur. C’est ainsi que leurs pères ont traité les prophètes ! A ceci même tu vérifies douloureusement que leur combat est tien ! Petite prophète, voix choisie pour sonner clair avant la Tempête ! Petite aimée, en moi tu trouveras toujours ton repos et, au jour de la Désolation, tu brilleras d’une flamme si claire que mes petits viendront se rassembler près de toi afin de me rester fidèles. (15/10/2000)
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Sois en moi — disposée — et vois ! La peur, ta peur. Quelle peur ? … où loge-t-elle ? Tes membres saisis d’effroi tremblent. Veux-tu m’offrir tes craintes ? Toute l’angoisse qui gît encore au plus profond de toi ! Revêts-toi de mon nom — comme d’une armure — et plonge en ta souffrance. Ose si tu m’aimes ! (09/05/2001)
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Accueille tous les assauts du mal, enfant ! Apprends sans te cabrer à t’y abandonner. Coule-toi en mon NOM, qu’il soit ton refuge et ton havre. De lui vient ton salut ! Exerce-toi, petite, petite, ma toute petite. Je suis là, au cœur même des souffrances les plus intolérables. Tout au fond ! JE SUIS et rien ne m’échappe. (09/05/2001)
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Si tu luttes contre la souffrance, contre le mal, contre la peur, l’angoisse, la crainte de l’échec et tous égarements, tu les ancres dans ton corps ! Ne lutte pas! Offre-toi ! Abandonne-toi et tourne-toi plutôt en chaque circonstance qui te heurte, vers moi, avec élan. Unis ces moments difficiles à ceux que je connus. Rien de ce que vous endurez ne m’est étranger. J’ai voulu tout partager, et j’ai expérimenté tous vos états d’âme et souffrances physiques. Je sais toujours votre peine. C’est pourquoi je vous dis en vérité, à vous qui souffrez : Tournez-vous vers moi votre Sauveur et, Du cœur même de vos ténèbres Jaillira ma lumière. (09/05/2001)
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