Ma fille, j’accueille ta prière même si elle est le fruit d’un combat, si tu t’efforces toujours de ramener ton cœur et ta pensée vers moi, ton Dieu, ou vers moi par Marie Cependant, ce jour, je t’attends dans l’oraison, la pure oraison, qui te livre tout entière à mon amour transformant. N’aie crainte, viens seulement. Sache que je ne te dispense jamais de ces temps. Il faut vaincre le recul, la crainte, les brumes et le sommeil par la décision. Comprends-le et reçois ma paix. (01/03/2001) page 175
Enfant, ne crains pas. Réjouis-toi. Ce jour encore est mon jour, donné à chacun pour aimer davantage, pour poser des actes de foi, exercer la prière, bénir et bénir. Et plus la difficulté est grande, plus il importe de ne pas faire retour sur soi-même, sur son problème mais, simplement, d’agir en accord avec ma Parole qui vous porte à l’action. (05/06/2001) page 219
A l’éclat je préfère la tendresse. Une petite pensée délicate, une petite réorientation d’un jugement naissant qui le transforme en parole de vie et d’espérance sont plus importantes pour le devenir du monde, que, par exemple une célébration parfaitement réglée et accomplie… La gloire m’appartient. L’humilité seule vous convient, et vous dispose en moi. Va, mon enfant, inspire en moi, fais silence, agis. C’est ainsi qu’en toi je me glorifie. La paix soit posée sur ton cœur, ce jour. (05/06/2001) page 219
