Es-tu prête à marcher sur mes sentiers, enfermant en ton cœur mes paroles, méditant, mâchant et remâchant sans cesse ma parole ? Il faudra se taire, se tourner vers moi sans cesse : que tu me sentes ou non ! (25/10/1999)-page 29
Tais-toi, ne te détourne pas de moi, même avec des prières, ose ouvrir ton cœur. Je te parle et si tu veux vraiment me ressentir, tu dois te taire. Reçois ma paix. (15/04/1999) page 17
J’attends que tu fasses silence et que tendrement tu mettes ton cœur à plat devant moi. Dépose en moi ton mal de tête, toutes tes pensées qui tourbillonnent et que tu transformes avec peine en prières. Alors, je te donne ma paix et tu respires en moi. (23/05/2000) page 74
Veux-tu bien que je te parle — doucement — comme un ami à sa bien-aimée ? Je viens emplir ton cœur de toutes mes douceurs afin que de tes yeux de belles larmes s’écoulent, qui purifient ton âme de tout ce qui l’encombre. Sois sans crainte. Prends tout ton temps. Ne t’inquiète pas pour ce rassemblement. Tu dois y aller pour témoigner que je suis un Dieu tout proche de celui qui m’aime. (25/04/2001) page 200
Ils me parlent, ça oui, mais ils ne m’écoutent pas ! Enfant, ma belle enfant, prends ton crayon et note ! Ton cœur renâcle parfois à porter les secrets que je viens te confier, car il te revient alors de les faire connaître ! Que ce qui était caché paraisse à la face du monde, devient une nécessité dont votre vie même dépend. (28/05/2001) page 215

