Offrez-moi donc vos cœurs afin que j’y demeure et que par mon Esprit je puisse guider vos pas. Enfants, comprenez donc que rien de bon ne sort du cœur de l’homme. Seul Dieu est Saint ! Voilà pourquoi Marie est avec vous ! Soyez ses tout petits, sinon prenez garde, vous qui vous glorifiez ! Ecoutez… et reconnaissez vos fautes. Je vous libérerai… Sois docile, ô ma petite aimée, écris et souffre en paix, avec moi, (14/09/2000) page 110
Comme la rosée abreuve la nature par ses infimes gouttelettes, ainsi ton cœur se gorge de la sagesse par une infusion imperceptible.(13/04/2000) page 51
Discerne l’état de ton cœur
C’est la réconciliation qui ouvre les portes de la grâce. Que celui qui a le cœur troublé le reconnaisse devant moi et ne te fie pas à ton propre jugement et que celui qui a le cœur en paix, la transmette.(03/02/2000) page 33
Je ferai de ton cœur un brasier ardent. De mon amour tu rayonneras. Ne doute pas. Abandonne-toi, car sur toi à flots ininterrompus ma grâces s’écoulera. Offre-toi pour cela. Tu es et seras toujours davantage canal de ma grâce. Je reçois tes prières, enfant, ne tarde pas. Viens cesse à la source de mon cœur brulant. Ne crains pas. Va de l’avant, aime-moi et tu les aimeras tous ! Reçois ma paix. (15/04/1999) page 19
Je ferai de ton cœur un brasier ardent. De mon amour tu rayonneras. Ne doute pas. Crois-moi. Abandonne-toi car sur toi, à flots ininterrompus ma grâce s’écoulera. (22/04/1999) page 17
Mon cœur est un trésor que tu partageras. J’ai tout accompli. Soyez mes témoins. (25/04/1999) page 18
Agneau immolé, agneau sans tache, mon sang vous lave, soyez sans crainte. Mes cœurs préférés sont des brasiers où l’amour se déverse et de là sur le monde. Amen, accueillez-moi, je viens prendre les places qui me sont offertes ! Je viens de ton néant te tirer jusqu’à moi ! (30/04/1999) page 19
Brise légère, j’effleure tout en toi et tout est transformé. Tout est si simple pour mes petits. Je viens verser mon feu au creuset de ton âme. Je suis là pour toi. Je t’aime, petite enfant, d’un amour très ardent. Sans cesse, viens vers moi, je serais toujours là. Ton amour obstiné t’ouvre à jamais la porte de mon cœur : (17/06/1999) page 24
Pour ce qui concerne vos cœurs, vous avez bien froids… Eh bien n’accusez pas quoi que ce soit ! Ni les soucis ! Ni les ennuis ! Ni même la maladie ! Rien ne peut le justifier. Si vos cœurs sont froids, c’est que je n’y règne pas ! (18/11/1999) page 30
Vos cœurs, à peine ouverts, font déjà volte-face. Ce qu’un jour vous m’offrez, demain vous le reprenez. Eh bien, c’en est assez : cessez de lutter. Déposez-vous sans cesse dans le cœur de Marie. Cela doit être votre seul souci : ai-je bien tout remis ? Posez-vous la question et simplement rectifiez ce que vous avez omis. (18/11/1999) page 30
En ton cœur, en chaque cœur repose une parcelle de ma divinité. En chaque être est imprimée l’image même de Dieu et devant ce regard, chacun doit se poser, se situer, se retourner…Ce regard divin sur vos âmes, doit être votre soutien. Sur Dieu seul vous devez vous appuyer. Interrogez vos cœurs, laissez-vous guider ! (27/03/2000) page 45
Tout est si simple lorsqu’un cœur s’offre sans crainte et accueille le regard de son Dieu. Chacun de vos tourments m’est cher et je peux l’apaiser. Chacun de vos péchés me désole et avive ma compassion. (27/03/2000) page 45
Mais je veux des cœurs qui se donnent à moi en pleine conscience et maturité. Voyez comme les petits enfants peuvent être grands dans leur simplicité. Pour vous, les « grands », acceptez de vous dépouiller, et ma clarté dessinera pour vous le chemin de bonheur qui passe par la croix accueillie, acceptée et embrassée. Regardez-moi et sans crainte, venez et laissez-vous configurer à ma ressemblance. Enfant je t’envoie à ton travail. Va, sûre de mon amour, avec humilité, me servir simplement. (15/03/2001) page 181
Non, ce soir, ma maison est là pour ceux qui viennent le cœur ouvert. Elle est ouverte sur le ciel. Vous n’êtes pas seuls. Les anges m’acclament. Ils cueillent vos prières. Soyez dans la joie, car JE SUIS LÀ. Le temps de l’adoration sous cette forme est bientôt révolu. Il va falloir que vous priiez pour saisir ma volonté. Pourquoi êtes-vous si peu ? (17/05/2001) page 207
