Mes enfants, vous qui empruntez les sentiers escarpés qui tentent de joindre le sommet du Carmel, les épreuves vous attendent, seul moyen de renforcer vos cœurs et de vous préparer à La rencontre. Dieu se donne, soyez prêts ! Les épreuves vous renforcent, elles affermissent votre détermination. Elles vous dépouillent aussi du superflu et de tout ce qui vous alourdit. (21/09/2000) page 113
Aussi, bénissez, bénissez, bénissez Dieu qui permet que vous soyez éprouvés. A-t-il épargné son Fils Jésus, le Sauveur du monde ? Bénir dans les difficultés, non une possibilité, mais le devoir du disciple. Le cri qui vous permet d’affirmer votre confiance, non pas seulement en paroles, mais en vérité. (21/09/2000) page 113
Heureux celui qui loue quand tout se tourne contre lui, Car en lui je me glorifie. Heureux celui qui me sourit, confiant, Je le prends au creux de ma main. Celui-là je le garde : place ! Devant lui tout doit s’incliner, Car dans mes voies, il marche Et mes anges le servent, Et s’il faut, le défendent, Lui passe sans l’ombre d’un tourment au visage ! (26/09/2000) page 119
Quand tu as un souci, viens me le confier. Je préfère t’aider et t’inspirer que de te voir peiner à étudier. Ce seront les autres qui étudieront notre travail ! Je puis tout te donner ; ce que je veux, c’est que tu pries et que tu sois à moi à chaque instant. (22/03/2001) page 185
Enfant, ce sommeil et ce sentiment surtout d’être dans le brouillard, tu le vis pour permettre à d’autres âmes de connaître ma lumière. Tu le vis en réponse à ton offrande, car je le veux ! Cette souffrance te permet de mieux compatir aux endormissements des cœurs ! Ce jour, ma belle enfant, jette-toi en mon cœur et viens puiser les forces dont tu auras besoin. (29/05/2001) page 216
Petite âme, lorsque tu es fatiguée, accueille ta fatigue, accepte-la et offre-la-moi. Réjouis-toi de tout ce qui pèse sur toi : en l’affliction, réjouis-toi, en la déréliction, réjouis-toi, en l’affaiblissement, réjouis-toi, en l’écrasement, réjouis-toi, en l’affadissement, réjouis-toi. Enfant, apprends, apprends à me trouver avec une assurance sans faille dans les moments les plus troublés. Ainsi je te prépare. Au-delà des mots, trouve-moi, au cœur de la peine, cherche-moi. Je suis là. Souris-moi ! Va ! Dieu infiniment puissant, présent et aimant : (18/06/2001) page 222
Je te redis souvent les mêmes choses, arrangées différemment, car je t’aime et je t’enseigne, mais je ne dis rien que tu ne puisses entendre vraiment. Chacun n’en est pas encore capable. Réjouis-toi, abandonne-toi en moi, petite âme, bénis- moi pour toutes tes « épreuves cachées » dont seul, je mesure l’acuité. Laisse-toi broyer. Accepte jusqu’à la lie la coupe de la déconsidération personnelle. Au fond de l’amertume, découvre le goût du miel… (20/06/2001) page 224
Là gît, aux yeux du monde… la folie. Là trône, sous mon regard, la Sagesse éternelle. Enfant, crois en ma Parole ! Eprouve mon incommensurable bonté qui t’a suscitée pour t’ouvrir à ma grâce. Lâche toute résistance et laisse-toi porter et cajoler, ma bien-aimée, car je viens te combler. Reste près de moi! Ce jour, vis, respire, sois pour moi. (20/06/2001) page 224
